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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 23:55
il n'y a plus de choix thérapeutique et l'amputation revient à la mode (comme la peine de mort ?). Il y a 30 ans les cancers des os de l'enfant guérissaient encore rarement et les patients étaient le plus souvent amputés. Et puis entre 1980 et 1990 l'inventivité des chirurgiens et l'amélioration des schémas de traitement mis au point aux USA à la fin des années 1970 nous permit de guérir près de 90% des malades en leur gardant leur membre. Ils nous rendent visite maintenant avec leurs enfants. Mais ce bonheur du cancérologue pédiatre s'avéra fugace. Que s'est-il passé ? Actuellement je vois passer dans mon unité avec désespoir des parents venant chercher du secours car leur enfant est déclaré perdu, bon pour les soins palliatifs et la mort. Pourtant il était curable quelques mois plus tôt avec un "bon traitement". Dans la dernière semaine j'en vis trois différents avec toujours le même scenario. Découverte du cancer, inclusion dans un essai thérapeutique en cours, explication des médecins sur le "protocole" de traitement proposé et présenté comme la seule possibilité de traitement sans jamais évoquer les autres schémas ayant fait leur preuve et publiés depuis une vingtaine d'années. Le rouleau compresseur de la pensée unique qui passe en médecine par le mythe des essais thérapeutiques et au moins des traitements uniformisés est en marche. Rage et désespoir ! Comment ébaucher une prise de conscience, une révolte, une réversion du phénomène ?
 
Provoque le cancer
 
Ostéoporose :  Le dénosumab (Prolia), Le ranélate de strontium (Protelos)
 
"Quinze mois après sa dernière injection, une première fracture vertébrale survient en nageant. Un mois plus tard, la vertèbre située juste au-dessus casse également. Deux mois s’écoulent encore et, en décembre 2017, nouvelle douleur aiguë. ­ « Retour à l’hôpital et, là, je reste bloquée sur la table de scanner. On me fait passer des examens dans tous les sens et on découvre trois autres fractures. » Depuis, Michèle ne peut se déplacer qu’en ambulance à suspension hydraulique, tant ses fractures la font souffrir. Comme Christine, elle fait état d’une longue errance médicale et l’absence de solution thérapeutique, si ce n’est la morphine.
 
a utilisé la thérapie Gerson pour son ostéosarcome
avec un régime alimentaire à l'aide, une attitude positive, la méditation, et aimant le soutien des autres

TEMOIGNAGES SORTIR DU CANCER NATURELLEMENT

cancer prostate + os + lymphome

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