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15 février 2016 1 15 /02 /février /2016 23:30
La technique consiste à placer le malade dans un bain à 36°, et à élever progressivement la température du liquide jusqu'à 42°, le cœur étant constamment surveillé, car le bain dure très longtemps. Peu à peu, la température du patient s'élève
 
Fondements scientifiques de la thermothérapie
 
par ty Bollinger
 
En effet un point commun entre tous ces malades a fini par être établi et il est  pour le moins surprenant:  tous ces malades semblent avoir connu une infection importante après avoir déclaré leur cancer.Sans qu’ils comprennent pourquoi,les médecins de tous temps semblent avoir établi ce lien entre un épisode infectieux et la disparition du cancer.
 
L'hyperthermie profonde locale est un concept thérapeutique fondamental de l'approche de traitement alternatif et complémentaire du cancer. Elle consiste à employer une réaction de défense naturelle du corps -la fièvre- afin de stimuler le système immunitaire en cas d'affection cancéreuse. En pratique, elle permet le réchauffement ciblé de la tumeur et de l'environnement tumoral de manière à détruire les cellules cancéreuses. Le recours systématique à cette technique thérapeutique est donc fortement recommandé pour le traitement de tous les cancers.
 
C’est en 1910 que l’on trouve pour la 1ère fois la description de la possibilité d’un surchauffement qui pourrait augmenter l’effet des rayons sur les tumeurs malignes. Cette méthode déjà connue et appliquée fut redécouverte au début des années 60 en tant qu’hyperthermie pour tout le corps. De nombreuses études sont en cours sur ce sujet depuis les années 70. En Allemagne, ce fut avant tout le physicien et chercheur en cancérologie Manfred von Ardenne qui associa la thérapie dite thérapie par oxygène en plusieurs étapes par hyperthermie à une thérapie à plusieurs étapes pour le cancer.
En développant aussi la technologie des appareils, Manfred von Ardenne rendit le contrôle du surchauffement plus facile, entraînant donc une application plus ciblée dans la pratique.
 
Elle est passée par chaque type de chimiothérapie, et a subi deux greffes de cellules souches – sans résultat.
Elle est en phase IV, c’est-à-dire en phase terminale.
Cinq minutes après le début de cette injection dans son bras gauche, la patiente développe de violents maux de tête et une forte fièvre : 40 °C !
 
70 personnes en phase terminale ont bénéficié de cette thérapie entre 2007 et 2012. Dans 70% des cas, les Toxines de Coley ont permis de diminuer la tumeur et dans 20% des cas, une rémission complète selon MBVax.
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