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30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 11:27

"Chaque année, 24500 nouveaux cancers sont spécifiquement attribués aux rayonnements, aux USA. Environ 16500 en meurt."

"la chimiothérapie et les rayonnements aident, seulement, environ 3% des patients"

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RADIOTHERAPIE

Les radiation médicales sont une cause très importante (sans doute la cause principale) de la mortalité par cancer aux États-Unis au cours du XXe siècle. La seconde est que la radiation médicale, a reçu, même à des doses très faibles et modérés, est une cause importante de décès par cardiopathie ischémique, le mécanisme probable est un rayonnement-induction de mutations dans les artères coronaires, ce qui entraîne chez les clones dysfonctionnels (mini-tumeurs) des cellules musculaires lisses.
Des millions de cas de cancer, et des millions de cas de maladie coronarienne, peuvent être évités grâce à des changements simples et systématiques dans la façon dont les médecins utilisent les rayons X. C'est le message dans ce monumental livre par l'une des autorités les plus distinguées du monde sur les effets des rayonnements sur la santé.
 
plus de 50 pour cent des le taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X.
Dr John Gofman, MD, Ph.D. - Un physicien nucléaire et un médecin, et l'un des plus grands experts dans le monde sur les dangers des rayonnements - présente des preuves irréfutables dans son livre,
 
Les chercheurs ont découvert que même lorsque le rayonnement tue la moitié des cellules tumorales concernées, les cellules survivantes résistantes au traitement, appelées cellules souches du cancer du sein induites (iBCSC), étaient jusqu'à 30 fois plus susceptibles de former des tumeurs que le cancer du sein non irradié. cellules. En d'autres termes, la radiothérapie fait régresser la population totale de cellules cancéreuses, générant la fausse apparence que le traitement fonctionne, mais augmente en fait le rapport des cellules hautement malignes aux cellules bénignes dans cette tumeur, entraînant finalement à l'iatrogène ( induit par le traitement) décès du malade.
 
Commencez-vous à voir à quel point cette arnaque à la radiothérapie contre le cancer est vraiment énorme ? Pensez-y : si une exposition à seulement 100 mSv peut réellement causer le cancer , alors comment une exposition à 60 000 mSv peut-elle le « guérir » d'une manière ou d'une autre ?     Sans surprise, les mensonges de l'industrie du cancer s'effondrent quand on regarde la science. Pas étonnant que l'industrie doive travailler si dur pour garder les gens mal informés. Si les patients atteints de cancer savaient qu'ils recevaient des doses de rayonnement littéralement 60 000 % plus élevées (c'est-à-dire 60 000 mSv contre 100 mSv) que le niveau nécessaire pour augmenter considérablement le risque de cancer, ils ne souscriraient probablement pas à plus de « traitements »
 
Après que la radiothérapie s'est révélée être non seulement un échec, mais aussi fatale aux sujets de test initiaux, l'industrie médicale a simplement changé la dose, manipulé les statistiques et renommé le traitement comme une percée pour guérir le cancer.
 
De même, la radiothérapie est connue pour induire des cancers secondaires, ainsi qu'un large éventail d'effets indésirables graves. Une femme dont le sein est irradié est plus susceptible de développer un cancer du poumon, par exemple. Mais ses effets peuvent en fait être bien pires sur le cancer primaire qu'il est utilisé pour traiter...
 
un nouvel article intitulé «Le traitement par rayonnement génère des cellules souches cancéreuses résistantes aux traitements contre les cellules du cancer du sein agressives», publié dans la revue Cancer Le 1er juillet 2012, des chercheurs du département de radio-oncologie du Jonsson Comprehensive Cancer Center de l'UCLA rapportent que le traitement par radiation conduit réellement les cellules cancéreuses du sein vers une plus grande malignité.
 
La dissimulation plus répandue et omis concerne l'impact à long terme de la radiothérapie. Par exemple, un autre danger de la radiothérapie à la tête est un risque accru d'accident vasculaire cérébral. 9 Une étude de la tête et du cou patients ayant un cancer ont reçu une thérapie de radiation a constaté que les taux d'accidents vasculaires cérébraux étaient cinq fois plus que prévu. 10 Ce risque élevé d'AVC a été constaté de nombreuses années après l' administration du rayonnement. Le délai moyen entre le traitement de rayonnement et d' AVC était de 10,9 ans , mais le risque accru d'accident vasculaire cérébral a persisté pendant 15 ans après la radiothérapie.
La principale préoccupation avec la radiothérapie est qu'il peut déclencher des cancers secondaires années ou des décennies après que le cancer primitif a été « guéri. »
 
En ce qui concerne la radiothérapie externe, le protocole habituel délivre une dose de 10 Gy par semaine à raison de 5 séances de 2 Gy par jour. La dose totale délivrée par ce type de traitement varie selon les cas de 30 à 70 Gy, voire jusqu'à 80 Gy9
(note : 10Gy = 10sv = 10 000 msv, soit 500000 Radiographies thoracique (0,02 msv), par semaine / soit 25 000 fois la dose autorisé par an, pour un travailleur du secteur nucléaire ?? (c'est faux car : Le gray(Gy) est la dose de rayonnement reçue par l'organisme. Le sievert (sv) est un moyen d'évaluer l'impact biologique de ce rayonnement pour la santé de l'organisme, mais c'est tout de même très très important.))
 
Entre 4 et 4.5 Sv, on est à la DL50, c'est à dire que l'exposition va entraîner le décès de 50 % des personnes qui ont reçu cette dose
 
1 rd = 0,01 Gy = 1 cGy = 10 mGy
 
Une dose hautement ciblée utilisée dans la radiothérapie conventionnelle contre le cancer (dose unique) est de 2 000 mSv.
Apparemment, il n'y a pas de grande étude cumulative pour soutenir les taux de survie globale de la radiothérapie, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de données pour justifier le rayonnement , alors pourquoi est-il mis en œuvre quotidiennement? La réponse est l'argent, et les systèmes de croyances endoctrinés inculqués dans les écritures orthodoxes médicales
l'industrie du cancer conventionnelle est une entreprise annuelle de 125 milliards de dollars.
La dose de rayonnement de fond moyenne dans le monde pour un être humain est d'environ 2,4 millisievert (mSv) par an . Une dose très ciblée utilisée en radiothérapie conventionnelle contre le cancer (dose unique) est de 2 000 mSv.
 
Une erreur de paramétrage du logiciel utilisé pour réaliser les traitements de radiothérapie a entraîné un surdosage des patients, qui concerne a priori l’ensemble des cancers traités entre 1989 et 2000. Près de 5000 patients seraient concernés ; environ 300 auraient reçu une dose supérieure de 7% à celle qui aurait dû leur être délivrée. ...
 
Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons
La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi
La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte.Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement.Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.
 
Le plus gros souci lié à la radiothérapie vient du fait qu’en irradiant une tumeur, on ne peut éviter totalement d’irradier les tissus environnants. Il y a donc un risque d’altération de cellules saines, situées à proximité de la zone traitée. Cette altération entraîne ce que l’on appelle les « effets secondaires ».
Autres effets secondaires liés à la radiothérapie
Vasodilatation capillaire rapide dès la cinquième heure après irradiation, même à faible dose.
Action immunologique: Baisse rapide du nombres des lymphocytes.
Irritation de la peau à l’endroit traité.Pour des rayons au niveau de la tête et du cou: Chute de cheveux temporaire ou définitive, altération du goût, difficultés à avaler, sécheresse de la bouche et manque de salive, perte d’appétit si les doses sont fortes.
Pour des rayons au niveau du thorax et de l’abdomen : Vomissements, diarrhées, nausées, crampes et gaz pour la région de l’estomac et de l’intestin.
Pour des rayons au niveau du bassin : Troubles urinaires et douleurs lors des rapports sexuels.
Fatigue au bout de quelques séances, qui peut nécessiter d’adapter son mode de vie durant le traitement.
En France, de nombreux cas de patients mécontents qui revendiquent leur statuts de victimes suite aux erreurs humaines. La plupart de ces patients ayant eu des problèmes lors de leurs soins ont été surradiés pour plusieurs motifs comme une erreur d’étalonnage ou une mauvaise calibration du faisceau ou encore d’une déviation de ce dernier lors de sa construction.
Cette technique demande un matériel de pointe et une grande maîtrise de précision dans ses réglages. Trop souvent le personnel n’est pas assez compétent pour affiner ces réglages, seuls un peu plus de la moitié des centres de radiothérapie comptent une personne spécialisée en radiophysie médicale dans leur effectif.
Dans tous ces cas dramatiques de surexposition, les patients ont fait face à plusieurs complications allant d’une brûlure très prononcée de l’épiderme à la mort en passant par des problèmes au niveau des organes entourant la zone irradiée. Ces surirradiations peuvent provoquer des rechutes locales entrainant le plus souvent la mort si ce n’est pas détecté suffisamment tôt.
 
La première chose à prendre en compte, c’est que la tumeur, Carcinome de son petit nom, a disparu au bout du deuxième FEC100. Puis il y a eu 7 Taxol, et au bout du 3e Taxol, échographie et mammographie pour vérifier ce que l’on sentait à l’examen clinique, c’est à dire RIEN. Il n’y avait plus aucune trace.
La seconde chose a été l’opération, c’est à dire la tumorectomie sans tumeur, où on m’a confirmé qu’il n’y avait absolument plus rien, ni aux niveau des trois ganglions prélevés, ni au niveau du tissu prélevé à l’endroit de la tumeur disparue.Ensuite, il y a eu mes recherches sur les risques de la radiothérapie. Évidemment, aucun oncologue, ni chirurgien ni radiothérapeute ne m’en a soufflé mot. Mais aux vues des risques de cancers secondaires et surtout des risques de complications cardiaques qui surviennent généralement plusieurs années après les radiothérapies, il y a de quoi réfléchir. Surtout que je « bénéficiais » de 3 facteurs de risques accrus, à savoir :
Le fait d’être une femme
Le fait que la radiothérapie soit ciblée sur le sein gauche (proche du cœur)
Le fait d’avoir eu des doses de drogue cardiotoxique par la chimiothérapie, à savoir le FEC100.
 
• 2000 mSv Intoxication grave
• 4000 mSv Dose extrêmement sévère - survie possible
• 5 000 mSv Dose de rayonnement extrêmement sévère - risque élevé de décès
• 6 000 mSv Dose habituellement mortelle
• 10 000 mSv dose fatale
 
les premiers radiothérapeutes obtiennent des résultats. La première guérison par irradiations d’un cancer remonte à 1899.
Histoire et effets secondaires de la radiothérapie : cancers, problèmes cardiques, nécroses radiologiques....

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RADIOLOGIE ET SCANNERS

En 1965, le Dr Ian MacKenzie a publié un rapport élégant intitulé « Cancer du sein suite à de multiples fluoroscopies » ( British J. of Cancer 19: 1-8) et, en 1968, Wanebo et ses collègues, stimulés par le travail de MacKenzie, ont rapporté « Le Cancer du sein après exposition aux bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki "( New England J. of Medicine 279: 667-671), mais peu étaient disposés à admettre que le cancer du sein pourrait être induit par un rayonnement faible.
 
480 pages (1990).
 
Prevention Cancer et dépistage : l’Arnaque Sémantique
Dans son livre «Prévenir le cancer du sein», le Professeur J.W. Goffman, montre que l’exposition aux radiations ionisantes, principalement aux rayons X, est responsable d’environ 75 % des cancers du sein aux États-Unis. Une mammographie tout les 10 ans augmenterait de 9% le risque de cancer.
 
un scanner du corps entier peut délivrer en une seule fois une dose de radiations de 20 millisieverts (mSv), ce qui correspond au maximum autorisé pour une année pour un salarié travaillant dans le secteur nucléaire
Une hausse incontrôlée du nombre de ces examens pourrait aboutir à une augmentation des cas de cancer, en particulier pour les enfants qui sont les plus vulnérables aux radiations. Selon l’ASN, "le risque sanitaire pourrait être une épidémie de cancer dans les dix années à venir", s’inquiète Jean-Christophe Niel, directeur général de l'ASN.
 
70 millions de scanners effectués en 2007 aux États-Unis pourraient conduire à 29 000 cas supplémentaires de cancers
 
Des scientifiques américains ont averti vendredi que l'image scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays peuvent être dangereux.
 
le docteur Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leurcémie était les radiations médicale dans la forume de diagnostic médical de rayons X
Dans les années 1970, le dr Bross a dirigé un projet qui a étudié l'auguementation alarmante des taus de leurcémie.Elle a été appelé : l'étude leucémie Tri-state. Son échantillion a utilsé des registres de 16 millions de personnes de New York, du Maryland de du Minesota
.
RAYONS NOCIFS : Scanners et radios augmentent le risque de cancers
Une étude publiée dans le JAMA par le Dr. Rebecca Smith-Bindman, de l’université de Californie (San Francisco) et son équipe a trouvé que le nombre de scanners par millier de personnes a triplé aux Etats-Unis entre 1996 et 2010. Ces chercheurs estiment que 2% des cancers à venir seront directement liés à l’exposition à ces rayonnements. Tout en soulignant l’intérêt de l’imagerie médicale pour la santé, ils demandent aux médecins de bien mesurer le rapport bénéfices risques, d’en informer le patient et de limiter ou retarder certains examens.
 
risque lié a la radiologie
Dans le domaine des doses élevées (quelques dixièmes de Sievert ; voir chapitre " Le milli-Sievert, c'est quoi ? " 4.1.3mSv), de nombreuses études scientifiques (dont celles sur les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, celles sur les patients ayant suivi un radiodiagnostic ou une radiothérapie et celles sur des personnes professionnellement exposées) ont prouvé avec certitude l'existence d'un risque réel d'induction de cancers dans de nombreux organes dû au rayonnement. De nos jours, on admet que le risque de cancer mortel radio-induit est de 10% par Sievert pour des doses élevées. Ceci veut dire qu'on observera 10 cancers supplémentaires (dus au rayonnement) dans le cas où 100 personnes auraient été exposées à une dose de 1 Sievert.
 
"Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteint de cancer du sein est d'éviter assister dépistage." Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.
 
sur les 260.000 décès par cancer enregistré en Allemagne, entre 10.000 et 20.000 sont à mettre sur le compte des rayonnements
 
le Dr Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leucémie était en radiation médicale dans la forme de diagnostic médical de rayons X
 
"Si une femme a une mammographie annuelle dès l'age de 55 à 75 ans, elle recevra un minimum de 20 rads de rayons.A titre de comparaison, les femmes qui ont survécu aux attentats à la bombe atomique à Hiroshima ou Nagasaki ont absorbées 35 rads...."
 
Les femmes porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2, donc à susceptibilité de cancers du sein et de l'ovaire, qui ont été exposées aux rayonnements ionisants des diagnostics d'imagerie de la poitrine, avant l'âge de 30 ans, ont un risque accru de développer un cancer du sein, selon cette étude publiée le 6 septembre dans la revue du BMJ.com. Un nouvel argument de cette équipe de recherche internationale, dont des chercheurs de l'Inserm, pour limiter certains examens d'imagerie médicale, scanographie et radiologie interventionnelle, sources d'une augmentation de plus en plus préoccupante de l'exposition aux rayonnements ionisants.
 
Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements
Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les «dictateurs du scalpel et du radium» ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait: «Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.»
 
scanner thorax (8 msv) = 400 Radiographies thoracique (0,02 msv)
Mammographie (0,7msv) = 35 Radiographies thoracique (0,02 msv)
scanner abdomen (10 msv) = 500 Radiographies thoracique (0,02 msv)
scanner tête (2 msv) = 100 Radiographies thoracique (0,02 msv)
coronarographie par scanner (21,4 msv) = 1070 Radiographies thoracique (0,02 msv)
 
« La dose moyenne d'un scanner (TDM) est de 10 millisieverts (mSv) mais, associé à un PetScan (TEP), les doses peuvent passer à 15-20 mSv », a indiqué le Dr Gérard, ce qui correspond au maximum autorisé par an pour un travailleur du secteur nucléaire.
 
La réglementation française fixe à 1 millisievert (mSv) par an la dose efficace maximale admissible résultant des activités humaines en dehors de la radioactivité naturelle et des doses reçues en médecine. Les limites de doses équivalentes pour le cristallin et pour la peau sont fixées respectivement à 15 mSv/an et à 50 mSv/an.
 
Le PET scan, aussi appelé tomoscintigraphie par émission de positons (TEP ou « positron emission tomography » en anglais) est un examen d’imagerie qui permet de visualiser le fonctionnement des organes (imagerie fonctionnelle). Il associe l’injection d’un produit radioactif visible en imagerie et la prise d’images par un scanner.

UNITES DE MESURE

1 rd = 0,01 Gy = 1 cGy = 10 mGy
 
Le gray est la dose de rayonnement reçue par l'organisme.
Le sievert est un moyen d'évaluer l'impact biologique de ce rayonnement pour la santé de ton organisme.
 

Quand on fait un scanner des poumons par exemple, la dose de rayons X reçue par le patient est de 10 à 100 fois plus importante que celle d’une radio pulmonaire.(faux : c'est 400 fois)
Et un scanner qui examine le thorax l’abdomen et le bassin c’est en terme de dose l’équivalent de ce qui est autorisé pour un travailleur du nucléaire en un an

Vers la 33 ème minute, il est dit que la mammographie, c'est 200 milli rads de radiation, soit : 200 fois la dose d'une radiographie pulmonaire !

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Les radiations médicales sont un danger incroyable de la façon dont elles sont utilisées aujourd'hui (risque de cancer....)

LES MAMMOGRAPHIE PROVOQUENT LE CANCER

 

"Après la mise en place du dépistage, on a vu fortement augmenter le taux de cancer du sein chez les femmes âgées"

"75% des cancers du sein dus a l'imagerie médicale"

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radiographie dentaire : peut-être, pas trop de danger ??

les doses délivrées sont faibles, indique l’Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) : 1 à 8 microsievert (µSv) pour un cliché intrabuccal, 2 à 3 µSv pour une étude céphalométrique, soit l’équivalent de moins d’une journée d’exposition naturelle. Pour une radio panoramique c’est un peu plus élevé, 4 à 30 µSv.

La radiothérapie pour la stérilisation humaine

La bonne alternative au scanner semble bien être l'IRM, sans produit de contraste.

Ces produits ont été massivement utilisés pendant des années pour servir de marqueur lors des IRM et, d’un coup, on nous explique que le produit est retiré du marché car il se dépose entre autre dans le cerveau, les os et les reins des patients. Mais, rassurez-vous, ils nous disent que rien ne prouve à ce jour que le dépôt d’un métal dans nos cerveaux est nuisible…ce qui explique d’ailleurs son retrait en catimini alors que cela fait depuis 2015 au moins que des scientifiques ont identifié ce problème. 

 

RADIOTHERAPIE, RADIOS, MAMMOGRAPHIES, SCANNERS ET CANCER
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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 00:08
"faux positif, qui, selon un article publié dans "the Lancet", concerne plus de 93% de l'ensemble des résultats de mammographies."  extrait de "Toute la vérité sur le cancer" de ty Bollinger page 160
 
plus de cent hommes et cent femmes seraient chaque jour diagnostiqués puis traités inutilement. Ainsi, en quinze ans, la France aurait «soigné» un million de personnes pour un cancer de la prostate ou du sein qui n’en était pas un.
Selon des études récentes, un traitement précoce pourrait même accélérer le développement de métastases dans les organes vitaux ! Contrairement à ce que soutient la propagande médicale, le diagnostic rapide et la prise en charge hâtive n’améliorent d’ailleurs nullement le taux de survie général
la montée en flèche du nombre de cas de cancer du sein et de la prostate où la mortalité reste stable pendant cette période de 25 ans est reliée à l’augmentation du dépistage. La différence croissante entre diagnostics et décès s’explique par l’augmentation de cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux s’ils n’avaient été décelés lors d’un dépistage par mammographie ou par un PSA. Le nombre d’appareils de mammographie a augmenté considérablement en France : 308 en 1980 contre 2 511 en 2000, soit huit fois plus.
"A ce jour, nous n’avons toujours pas vu la preuve de la guérison du cancer du sein par la médecine"
 
Overdiagnosis in cancer ») paru dans le Journal of the National Cancer Institute (USA), les auteurs H. Gilbert Welch et William C. Black donnent l’estimation du surdiagnostic en comparant un groupe invité au dépistage à un groupe non invité. Le surplus est de 25 % pour les cancers du sein détectés par mammographie, 50 % pour les cancers du poumon (dépistage par rayons-X notamment) et 60 % pour les cancers de la prostate dépistés par le marqueur PSA.
 
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas.
 
La plupart des hommes auront le cancer de la prostate au cours de leur vie. C'est vrai, si vous vivez jusqu'à 90 ans, votre risque est de 90% ! Si vous vivez jusqu'à l'âge de 50 ans, 50% auront la prostate. Cependant, 98% des cancers de la prostate n'ont pas besoin de traitement parce que nous mourons avec eux, pas d'eux! L'astuce est de dire qui est dans les 2% qui en mourront. Avec l'arrivée de nouvelles technologies telles que les sonogrammes 3D-4D et les IRM avec spectroscopie, nous pouvons identifier avec un degré élevé de certitude ceux qui sont graves et ont besoin d'un traitement.
Pour les hommes atteints d'un cancer de la prostate localisé, la chirurgie ne sauve pas des vies et elle a un taux beaucoup plus élevé de complications telles que l'impuissance et l'incontinence.
 
100 milliards de dollars dépensés chaque année pour des traitements de chimiothérapie toxiques qui causent des dommages aux patients et des effets secondaires appelés « cerveau chimio », un groupe d’experts du cancer commissionnés par l’Institut National du Cancer a admis publiquement il y a deux ans que des dizaines de millions de « cas de cancer » n’en étaient pas du tout.
 
en 30 ans
 
TV Suisse
 
Il est à mon avis d'au moins 90 %. Et dans les 10 % restants, rien ne dit que la tumeur évoluerait, et si elle le faisait, qu'elle évoluerait tellement qu'elle deviendrait mortelle.
 
Rappelons que dans les récentes années, des études ont mis en évidence le surdiagnostic et le surtraitement de plusieurs cancers, notamment ceux du sein, de la prostate, de la thyroïde… Une étude publiée ce mois-ci dans le JAMA Internal Medicine indique que près d'un cancer du poumon sur 5 détecté avec la tomographie par ordinateur est à croissance lente et peu susceptible de causer un préjudice réel. Ces surdiagnostics sont susceptibles de causer un tort considérable en raison du (sur)traitement.
 
Et si, au lieu du cancer, c'était au traitement que vous aviez "survécu"
Nicole Delépine :A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer !
Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d'un « cancer » était précoce plus on avait de chances d'en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu'on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l'est pas aujourd'hui. Le dépistage organisé a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait également très vite (on guérit facilement les cancers qui n'évoluent pas). Beau doublé !
 
Une analyse d’études randomisées de dépistage à grande échelle montre que 20% des cancers du sein dépistés par mammographie, jusqu’à 60% des cancers de la prostate dépistés par dosage du PSA et autour de la moitié des cancers du poumon dépistés par radiographie et analyse des expectorations relèvent du surdiagnostic
 
Le surdépistage des cancers en est une facette particulièrement grave, compte tenu des conséquences extrêmes qu’elle peut induire (procédures inutiles et risquées, médicamentation très lourde qui peut être mortelle (un analogue agoniste GnRH (Enantone/Eligard/Viadur, Décapeptyl, Zoladex…) chez un homme de plus de 70 ans ayant des facteurs de risque cardiovasculaires risque beaucoup plus de le tuer qu’un cancer de la prostate – avant ou après lui avoir rendue la vie très pénible).
 
«Cet article confirme que le surdiagnostic est un problème fréquent dans les cancers d’évolution lente comme ceux de la thyroïde et surtout ceux de la prostate »
 
Selon des scientifiques, le dépistage du cancer du sein entraîne un surdiagnostic suite auquel beaucoup de femmes auront des interventions chirurgicales et des chimiothérapies inutiles
 
On peut donc estimer le nombre moyen de surdiagnostics à une centaine par jour en 2008, sans compter les cancers « in situ ».
 
La question n’est plus de savoir si, mais combien de fois, il se produit
 
dans les pays avec les programmes organisés de dépistage est d'environ 50%
 
Plus de 500.000 personnes auraient été surdiagnostiquées…
L’épidémie de cancers de la thyroïde observée ces vingt dernières années dans certains pays serait en majorité due au surdiagnostic. Un cancer peu susceptible de provoquer des symptômes au cours de la vie d’une personne ou d’entraîner la mort aurait été détecté chez 500.000 personnes dans le monde.
Le Centre international de la recherche sur le cancer (CIRC/IARC) basé à Lyon (Rhône), dont l’étude a été publiée jeudi dans le New England Journal of Medicine, a en effet évalué que plus de 470.000 femmes et 90.000 hommes auraient fait l’objet d’un surdiagnostic de cancer de la thyroïde en vingt ans et dans 12 pays développés (Australie Danemark, Angleterre, Finlande, France, Italie, Japon, Norvège, République de Corée, Ecosse, Suède et Etats-Unis).
En Australie, France, Italie et aux Etats-Unis, le surdiagnostic est évalué entre 70 et 80 % par les chercheurs, contre 50 % au Japon et dans les pays nordiques. Le Dr Salbatore Vaccarella, qui a dirigé l’étude, précise que l’exemple le plus frappant est celui de la République de Corée, avec 90 % des cas observés pouvant relever du surdiagnostic entre 2003 et 2007.
En outre, « la majorité des cancers surdiagnostiqués ont été traités par des ablations complètes de la thyroïde, souvent associées à d’autres traitements nocifs comme l’ablation des ganglions du cou ou la radiothérapie, sans bénéfices en termes d’amélioration de survie », déplore le Dr Silvia Franceschi, un des auteurs de l’étude.
Ces tumeurs sont en effet, la plupart du temps, des micro-cancers dont le pronostic est bon, avec une survie proche de 99 % à 20 ans. Selon les chercheurs, ces pathologies pourraient ainsi faire l’objet d’une surveillance rapprochée, mais sans traitements agressifs d’emblée
 
Au niveau mondial, d‘après l’Agence Internationale sur le Cancer, il y aurait eu près de 500000 femmes sur traitées par des ablations complètes de la thyroïde, souvent associées à l’ablation des ganglions du cou et/ou la radiothérapie, sans bénéfices en termes d’amélioration de survie et mais source dans tous les cas d’inconfort et de séquelles.
 
15 à 25% pour ceux du sein. Selon eux, le problème serait aussi fréquent dans les tumeurs de la thyroïde
 
extrait du livre de feu sylvie Simon, Information ou désinformation ? La manipulation médiatique et politique en matière de santé (sauvegarde)
"D'ailleurs, l'examen de femmes"saines" agées de plus de cinquante ans ne révèle en moyenne que deux ou trois cas pour mille femmes examinées.Ni les frottis, ni les mammographies ne peuvent donc être considérés comme de bons tests. En effet sur cent tests "positifs", 90 à 99% d'entre eux sont des "faux positifs"
 
Est-ce un effet pervers du dépistage ? « Tout a commencé dans les années 1980 avec les échographies à disposition », analyse le professeur Schlumberger. « On s'est mis à en faire à tout bout de champ même, quand à la palpation, la thyroïde paraissait normale. » Le nombre de petits nodules ainsi repérés a augmenté. Or, seuls « environ 5 % des nodules thyroïdiens sont des cancers », précise l'endocrinologue. « Puis on s'est mis à faire des cytoponctions pour préciser la nature d'anomalies de plus en plus petites. On est ainsi allés chercher des problèmes qui n'existaient pas. »
Des intérêts financiers sont-ils en jeu ? Personne ne le dira ouvertement. Mais les surdiagnostics servent des intérêts dépassant ceux des patients, qui vivent, eux, terrifiés par l'annonce d'un diagnostic où le mot cancer résonne comme une épée de Damoclès. Ils sont « relativement peu enclins aujourd'hui » à s'entendre proposer l'option surveillance d'une grosseur jugée indolente et de bon pronostic à long terme par leur médecin, relèvent aussi bien l'endocrinologue que la présidente de Vivre sans thyroïde. Le traitement à vie par lévothyroxine, hormone de synthèse en comprimés quotidiens, destinée à remplacer celle que ne produira plus la thyroïde fait en revanche les affaires des laboratoires qui la produisent.
 
S’il était ministre de la Santé, le Dr Turcotte abolirait tous les examens annuels sur des bien portants, toutes les campagnes de vaccination antigrippale, tous les tests de dépistage systématique (le mot est important) de cancer du sein, de la peau, de la prostate ou du côlon.
Pour le cancer de la prostate, un homme sur 1000 en mourrait prématurément. Les 999 autres décèdent avec leur cancer, mais pas à cause de lui. « Le traitement est souvent pire que la maladie, croit le médecin. Depuis 1992, on a les études qui démontrent que les mammographies sont inutiles. Même chose pour la prostate : ça fait bientôt six ans qu’on dispose de preuves en platine que ces tests (PSA) devraient être arrêtés. Tous les hommes de plus de 60 ans ont un cancer de la prostate, mais il va se développer tellement lentement que ça va nous faire mourir après notre mort. »
 
Deux notions sont absentes de cet opuscule (si si cherchez bien vous verrez) : celles de surdiagnostic et de celle de surtraitement.
 
Le nombre estimé de surdiagnostics en France est de 36 000 cas par an, pour le seul cancer du sein. Cent femmes par jour sont ainsi diagnostiquées et traitées inutilement.
...Guérir des faux cancers – grâce aux surdiagnostics – donne l’illusion que la médecine progresse, mais la réalité est tout autre. En France, selon les statistiques de mortalité, le risque de décéder d’un cancer du sein fut pratiquement identique en 1980 et en 2005. On peut donc douter que la précocité des traitements chirurgicaux, par radiothérapie et par chimiothérapie, ait amélioré les chances de guérison
 
Une Écossaise a enduré six mois exténuants de chimiothérapie après avoir été diagnostiquée à tort d’un cancer du foie en phase terminale. Elle a finalement découvert plus tard qu’elle n’a jamais eu la maladie.
 
Le surdiagnostic des cancers du sein mène à des traitements inutiles dans un cas sur trois : Selon des scientifiques, le dépistage du cancer du sein entraîne un surdiagnostic suite auquel beaucoup de femmes auront des interventions chirurgicales et des chimiothérapies inutiles
 
Comment les conflits d’intérêts mènent-ils à traiter inutilement des surdiagnostics, à savoir des « cancers » qui n’auraient pas eu de conséquence sur la vie des patients s’ils n’avaient pas été découverts ?
 
Les Mammographies de dépistage, car elles ne prolongent pas la vie, alors qu’elles rendent beaucoup de femmes en bonne santé, malades par l’intermédiaire de surdiagnostic et conduit à la mort prématurée pour certains parce que la radiothérapie et la chimiothérapie augmente la mortalité lorsqu’ils sont utilisés pour d’inoffensifs cancers détectés lors du dépistage.
 
 
Une Écossaise a enduré six mois exténuants de chimiothérapie après avoir été diagnostiquée à tort d’un cancer du foie en phase terminale. Elle a finalement découvert plus tard qu’elle n’a jamais eu la maladie.

"plus de 500.000 personnes n'auraient jamais dû être diagnostiquées comme atteintes du cancer de la thyroïde"

80% de surdiagnostics !

Les traitements (de l'industrie du cancer) ne servent à...pas grand chose

Les victimes meurent en particulier des complications du traitement (de l'industrie du cancer) du cancer de la prostate

  (Attention aux mensonges sur la chirurgie et la radiothérapie)

Témoignage

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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 00:02
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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 23:12
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