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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 00:13

"à l’origine de tous les cancers il y a une inflammation."

CRITIQUES DE LA CHIMIOTHÉRAPIE
"Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux."- Professeur G. Mathé, "L’Express" - 4/10/85. « La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture, mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. » Pr. Dr . J. HACKETAL ("Keine Angst vor Krebs").
 
l'ironie est que très peu de gens meurent du cancer. Tu meurs de diarrhée; tu meurs d'insuffisance rénale; tu meurs d'un arrêt cardiaque; tu meurs d'une infection massive.
C'est un génocide médical.
Nous n'avions pas de remèdes à l'époque; nous n'obtenons pas de remèdes maintenant, sauf pour les cancers mineurs. . . douze pour cent du cancer.
 
100 milliards de dollars dépensés chaque année pour des traitements de chimiothérapie toxiques qui causent des dommages aux patients et des effets secondaires appelés « cerveau chimio », un groupe d’experts du cancer commissionnés par l’Institut National du Cancer a admis publiquement il y a deux ans que des dizaines de millions de « cas de cancer » n’en étaient pas du tout.
 
Pourquoi tuer leur vache à lait ? S’ils peuvent garder en marche la machine à cancer bien huilée, ils vont continuer à faire des profits énormes grâce aux chimiothérapies, à la radiothérapie, aux procédures de diagnostic et interventions chirurgicales.
 
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas.
 
la Sécu tient les victimes par la barbichette, en leur refusant les congés maladie s’ils refusent la filière orthodoxe, afin d’opter pour des thérapies plus humaines et offrant plus de chances de succès.
 
le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s'avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu'il vaut mieux ignorer.
 
 
Pendant les années 70 il servit pendant deux ans au Directoire du Conseil National du Cancer. En 1975 on lui demanda ce qu'était le Programme National du Cancer. Il déclara “C'est un tas de merde.”
 
Que rapporte un essai clinique aux médecins : « Le cancer, un moyen de gagner de l'argent »
chimiothérapie : chaque malade inclus rapporte 7.000 €
antidépresseurs : 12 300 euros pour chaque malade suivi (soit 193000 euros)
 
Voici les faits. En 1942, Memorial Sloan-Kettering Cancer Centre tranquillement commencé à traiter le cancer du sein avec ces dérivés du gaz moutarde. Personne n'a été guéri. Des essais de chimiothérapie ont également été menées à Yale vers 1943 où 160 patients ont été traités. Encore une fois, personne ne fut guéri.
 
Certaines personnes développent un cancer après un stress intense ( décès , rupture ) , d’autres ne le font pas , c’est en fonction du taux d’intoxication par les produits chimiques ( mercure dentaire ;aluminium des vaccins ; glutamate de sodium ; alpartame ; les produits raffinés(sucre, sel, farines, huiles ) ;traitements chimique des légumes ; médicaments ; additifs alimentaires ; four à micro-ondes ; eaux nitratées ; tout ce qui est chimique ; tout ce qui n’est pas naturel .Et en fonction du manque de vitamines et surtout de vitamine C et de MAGNESIUM .
 
Deux pages consacrées au cancer, et à toutes les vérités cachées sur les traitements naturels, efficaces et non toxiques qui sont passés sous silence....
 
Une importante liste de liens cancer.
 
Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte.Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement.Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.
 
Une analyse d’études randomisées de dépistage à grande échelle montre que 20% des cancers du sein dépistés par mammographie, jusqu’à 60% des cancers de la prostate dépistés par dosage du PSA et autour de la moitié des cancers du poumon dépistés par radiographie et analyse des expectorations relèvent du surdiagnostic
 
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements … "Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans." : l'omerta médicale
 
Le surdépistage des cancers en est une facette particulièrement grave, compte tenu des conséquences extrêmes qu’elle peut induire (procédures inutiles et risquées, médicamentation très lourde qui peut être mortelle (un analogue agoniste GnRH (Enantone/Eligard/Viadur, Décapeptyl, Zoladex…) chez un homme de plus de 70 ans ayant des facteurs de risque cardiovasculaires risque beaucoup plus de le tuer qu’un cancer de la prostate – avant ou après lui avoir rendue la vie très pénible).
 
le nombre de cancers pour lesquels la prolongation de la vie grâce à la chimiothérapie a été prouvée par des essais cliniques randomisés est très faible. "Le traitement du cancer conventionnel et tellement toxique et déshumanisant que je le crains beaucoup plus que je ne crains la mort par cancer. Nous savons que la thérapie conventionnelle ne fonctionne pas, si elle fonctionnait, vous n'auriez pas a craindre le cancer, pas plus que vous craignez une pneumonie. Or l'absence totale de certitude quant à l'issue d'un traitement conventionnel qui crie presque plus de liberté de choix dans le domaine de la thérapie du cancer. Pourtant, la plupart des thérapies alternatives, indépendamment des avantages potentiels ou avérés, sont mis hors la loi, qui oblige les patients à se soumettre à des échecs que nous connaissons ne fonctionne pas, parce qu'il n'y a pas d'autre choix." Ralph W. Moss, Ph.D
 
Le Dr Hardin Jones, MD, professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley. Il a dit à un groupe ACS, "Mes études ont prouvé de façon concluante que les victimes du cancer non traitées peuvent effectivement vivre jusqu'à quatre fois plus longtemps que les personnes traitées. Pour un type typique du cancer, les personnes qui ont refusé le traitement ont vécu en moyenne des années 12-1/2. Ceux qui ont accepté types de chirurgie autres formes de traitement ont vécu en moyenne de trois ans seulement .... J'attribue cela à l'effet traumatique de la chirurgie sur le mécanisme de défense du corps naturel. Le corps a une défense naturelle contre tous les types de cancer. "G. Borell, L'histoire de peroxyde (Delano, Minnesota: ECHO, 1988), page 30. - Dr Hardin Jones est un professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley.
 
En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux.
 
"La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les docteurs utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs."
 
Depuis 50 ans, en dépit du bla-bla-bla que les institutions nous servent, aucun progrès effectif n’a été réalisé dans la recherche sur le cancer. Mieux, cet état de fait n’est pas un hasard mais une volonté politique avérée à but purement mercantile. D’ailleurs, tous ceux qui ont trouvé des remèdes efficaces ont été combattus, écartés, voire éliminés, et leurs méthodes ont été confisquées, réduisant les malades dissidents à se soigner et à guérir par effraction. Ce que j’ose prétendre depuis des années est une fois de plus confirmé par trois bombes médiatiques qui sont tombées récemment : 1 - L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique ! En effet, plusieurs responsables de recherche de la très réputée Harvard Medical School ont falsifié les résultats d'études scientifiques, ceci afin d’arriver à des conclusions qui leur permettaient de pouvoir prétendre à une subvention fédérale de 15 millions de dollars. Un procès va se tenir prochainement sur cette affaire. Mais ce n’est que l’arbre qui cache la forêt….. 2 - La plupart des études scientifiques sur le cancer sont bidons ! C. Glenn Begley, ancien patron d'un labo pharmaceutique a récemment lâché sa bombe dans un article de la revue Nature : sur 53 études de haut niveau (publiées dans les revues les plus sérieuses) qu'il avait jugées intéressantes dans le cadre du développement de nouveaux médicaments anti-cancer, 47 (soit 88%) n'ont jamais pu être reproduites par ses équipes ! Begley a alors aménagé une rencontre avec plusieurs responsables de ces fausses études. Et voici ce qu'il raconte sur l'un de ces rendez-vous : « Je lui ai expliqué que nous avions refait leur expérience 50 fois sans jamais parvenir au même résultat qu'eux. Il m'a répondu qu'ils avaient fait six tentatives, obtenant le résultat une seule fois, mais c'est bien celui-là qu'ils ont choisi de publier car il sonnait mieux… » Ce cas n’est malheureusement pas isolé, loin de là, et c’est le système de financement des labos de recherche qui est à revoir. 3 - Des médicaments anti-cancer qui font flamber les cancers ! Le problème est que ces études malhonnêtes constituent une base de développement pour des nouveaux médicaments, tels le Glivec et le Sutent, anti-angiogéniques dont le principe est de bloquer l'irrigation sanguine des tumeurs dans l’espoir de les tuer. Manque de chance, une équipe scientifique a montré que cette technique tue aussi les péricytes environnantes, qui ont pour fonction de combattre la tumeur. Résultat : la tumeur diminue bel et bien en volume, mais elle dissémine beaucoup plus rapidement ses cellules cancéreuses dans le reste de l'organisme. C’est ce qu’a déclaré le professeur Raghu Kalluri, responsable de l'étude. Ceci n’empêche pas que le Glivec depuis 2001 et le Sutent depuis 2006 soient toujours autorisés et administrés officiellement dans la plupart des chimios en Europe, sans états d’âme. Mais Motus et bouche cousue ! Business is business ! Et les morts ne font jamais de réclamations……
 
" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."
 
«Cet article confirme que le surdiagnostic est un problème fréquent dans les cancers d’évolution lente comme ceux de la thyroïde et surtout ceux de la prostate »
 
C'est donc incroyable. Ca le sera encore plus si nous ajoutons qu'on le sait depuis plus de 30 ans
 
"Malgré la large utilisation des chimiothérapies, la mortalité par cancer du sein n'a pas changé dans les 70 dernières années"
 
Cela fait maintenant 32 ans que le Président Nixon a déclaré la guerre au cancer. Depuis, on a dépensé 2 billions de dollars pour la recherche et les traitements anticancéreux conventionnels, avec pour conséquence un nombre plus important que jamais de
 
Une combinaison simple des aliments pouvait arrêter des cellules de cancer d'envahir la matrice de collagène !
 
« (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique.
 
« L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un fait frappant : 20% des opérés meurent d'une récidive locale, 80% meurent de métastases à distance » Pr. Lucien Israël in « Le Cancer aujourd'hui »
 
Les patients qui meurent au cours d’un traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas comptabilisés dans les statistiques lorsqu’ils n’ont pas reçu l’intégralité du traitement.
 
Enfin révélée, elle a provoqué l’émoi de tous les médias grand public : la consommation de vitamines et de minéraux antioxydants naturellement présents dans les fruits et légumes ferait baisser d’un tiers le risque de cancer chez les hommes de 45 à 60 ans. Une étude réalisée par des chercheurs de l’Inserm sur un échantillon de 13 000 volontaires et consistant à donner une supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants confère une dimension chiffrée et officielle à ce que les médecins de terrain et ceux qui pratiquent les médecines naturelles savent depuis la nuit des temps.....Si la méthode avait été adoptée, elle aurait abouti à une large éradication du cancer. Un effondrement du nombre de cancers provoquerait certainement un effondrement du taux de remplissage des cliniques et hôpitaux : beaucoup ne seraient plus rentables... et, expliquait-il, un allongement de la durée de vie rendrait insoluble le problème du paiement des retraites...
 
Les statistiques montrent que l'on survit plus longtemps avec un cancer non traité que traité. On parle certes de prévention - mais cela consiste en messages destinés à distiller la peur, facteur elle-même de maladie.
 
L'Organisation mondiale de la Santé a admis ceci : « Le cancer est une cause majeure de décès dans le monde. » Depuis près de 40 ans, la Zunie a dépensé 200 milliards de dollars à « essayer » sans succès de trouver un remède. Mais, la plupart des médecins ne sont même pas capables de vous dire pourquoi la médecine (du cancer) est un pareil fiasco. (Suggestion : il y a un dessein caché.) Saviez-vous que le coût moyen du traitement conventionnel pour le cancer dépasse 300.000 dollars ?
 
informez vous !
 
Dans un scandale qui a résonné partout dans le monde de la recherche sur le cancer, l'Office of Research Integrity au Département américain de la Santé a révélé que un scientifique de Boston University cancer fabriqué ses conclusions. Son travail a été publié dans deux journaux en 2009, et il a été ordonné de les retirer. Mais d'importantes études par d'autres scientifiques, comme ceux de la Clinique Mayo, qui a basé son travail sur ses constatations, pourrait maintenant faire 10 années de leurs études sans valeur, selon le commentaire de la santé Gaia.
 
Le 13 décembre 1974, lors d’une réunion qui a lieu chez Madame le Professeur Ripoche au 46 rue de Spontini entre Monsieur Charbonnot, Directeur Général de la Santé, le professeur Lechat qui était chargé de la pharmacovigilance au Ministère de la Santé et M. Poniatowski, Ministre de la Santé, il est décidé de ne pas rendre publiques les travaux de M. Gernez, ceci contre l’avis du ministre ... ensuite, chantage pour que le Dr Gernez cesse ses travaux, 3800 médecins prêts à mettre le protocole de prévention en pratique reçoivent une lettre émanant d’un dénommé Moulin qui était à l’époque secrétaire, ou sous-secrétaire de l’ordre des médecins ...

"si les laboratoires pharmaceutiques fabriquaient des médicaments qui guérissent, ils seraient tous en faillite"

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"La plupart du temps, les traitements du cancer ne prolongent pas la vie, ils la raccourcissent"

Le cancer, les traitements, dépistages... sur internet
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