De tous les essais cliniques financés par l’industrie pharmaceutique, moins de 6% sont publiés, et sur ces 6%, 75% arrivent à des conclusions favorables pour les médicaments étudiés.
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique - et cancérologique en particulier : 1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer... sont bidons ! 2/ L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique 3/ Des médicaments contre le cancer... qui favorisent le cancer !
des médicaments estimés efficaces et censés réduire nettement le taux de mortalité ont en fait un bénéfice largement surévalué
Plusieurs études internationales récentes, publiées dans de grandes revues de cancérologie, montrent que 85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable (trop peu efficace et/ou trop toxique) et que trop peu d’entre eux sont retirés du marché ou trop tardivement. L’agence européenne, dont les experts sont trop liés aux firmes, privilégie constamment l’intérêt de l’industrie sur la sécurité des malades, encouragée par la Commission européenne dont tous les rapports soulignent la « porosité » aux représentants industriels. L’un des derniers directeurs de l’EMA, une fois son mandat terminé, a été immédiatement nommé directeur pour l’Europe d’une grande firme pharmaceutique qu’il avait « contrôlée » durant son mandat, et en toute impunité.
la chimiothérapie pourraient endommager des cellules dites saines et les pousser à produire une protéine nommée WTN qui alimente la tumeur. Ce phénomène favoriserait donc les risques de rechute et de prolifération des métastases.
le catumaxomab (Removab®); le panitumumab (Vectibix®); la trabectédine (Yondelis®), le vandétanib (Caprelsa®), la vinflumine (Javlor®), le fer dextran (Ferrisat®).
Ces antitumoraux sont les suivants : mifamurtide (Mepact), nintédanib (Vargatef), olaparib (Lynparza), panobinostat (Farydak), trabectédine (Yondelis), le vandétanib (Caprelsa), la vinflumine (Javlor)
(Tumeurs solides réfracraires et/ou métastatiques et/ou avancées
apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois) :
LA
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts. Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité
le glivec et le sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib)
« Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. »
"Big Pharma trouve une nouvelle utilisation des statines chez les patients atteints de cancer, après qu'une vaste étude révèle que les avantages du médicament ont été fabriqués à 100%"
Chaque année au Royaume-Uni, 200.000 cas de cancers sont diagnostiqués et 152.500 personnes en meurent.
Javlor° a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie et un prix déconnecté de la qualité des soins.
Il s’agit du 5-fluorouracile et la gemcitabine, utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas. Le principe est simple : plus vous utilisez ces médicaments, et plus votre tumeur est irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Au lieu de supprimer ce médicament et en donner un deuxième au patient, pour compenser les effets négatifs du premier, les sociétés pharmaceutiques continuent de distribuer ce poison.
l’Agence Fédérale de la Santé nous refusa l’accès à ce traitement qui pouvait peut-être sauver Alexandre
Par exemple, nous avons découvert que le protocole, soit disant à la pointe du progrès, dont notre fils avait bénéficié était reconnu comme étant inefficace depuis plusieurs années. En 1994, les mêmes médicaments utilisés en chimiothérapie avaient été administrés à des enfants de deux ans, eux aussi atteints d’un médulloblastome. L’expérience se révéla si infructueuse que les tumeurs réapparurent en moyenne au bout de cinq mois, et que les médecins durent arrêter le protocole. Comment expliquer alors, qu’un traitement déjà testé et avéré totalement inefficace ait pu nous être présenté des années après comme étant le nec plus ultra ? Nous n’avions jamais été informé de l’échec de ce traitement. Nous avons aussi réalisé que nous n’étions pas les seuls parents à être victimes de cette désinformation intentionnelle.
A l’heure actuelle, on continue à induire en erreur des parents et à prescrire les mêmes médicaments dangereux à des enfants. Et même si vous savez pertinemment que les thérapies conventionnelles ne fonctionnent pas, vous n’aurez peut-être pas d’autre choix.. En effet, lorsque les médecins ont décelé notre hésitation à l’égard de la chimiothérapie, ils nous ont menacé de nous retirer Alexandre par décision judiciaire.
William Campbell Douglass II, MD - "Pour comprendre l'hypocrisie totale de la chimiothérapie, considérer les points suivants: Le Centre cancer de McGill au Canada, l'un des centres les plus importants et les plus prestigieux de traitement du cancer dans le monde, a fait une étude d'oncologues afin de déterminer comment ils répondrait à un diagnostic de cancer. Sur le questionnaire confidentiel, 58 des 64 médecins ont dit que tous les programmes de chimiothérapie étaient inacceptables pour eux et leurs membres de la famille. La raison impérieuse de cette décision était que les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité. Ce sont les mêmes médecins qui vous diront que leurs traitements de chimiothérapie va diminuer votre tumeur et prolonger votre vie! Il ya trente ans, j'ai travaillé avec un radiologue qui m'a dit ceci: «. Si je reçois le cancer, je vais au Mexique" Donc, si vous obtenez le cancer, ne pas appeler votre médecin, appelez votre agent de voyages. Il existe des traitements alternatifs disponibles, mais vous devrez exécuter toute la gamme des chimiothérapeutes outragés, radiologues, chirurgiens et d'en trouver un. Ils se serviront de cajoleries, les insultes, la
Son « crime » est d’avoir voulu inventer un produit anti-cancéreux, diffusé dans près de 80 pays, le 714-X. Il existe de nombreux témoignages de guérisons de cancers, y compris au stade terminal, pour le 714-X. Il est par ailleurs prouvé depuis 1978 que ce produit est dépourvu de toute toxicité ou effet secondaire. Mais en tant que patient français ou belge, vous n’y avez pas droit.
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements
De l’Erbitux (côlon) à l’Avastin (ovaire, utérus, rein) en passant par le Jevtana (prostate), les infatigables docteurs Nicole et Gérard Delépine montent à nouveau au créneau et passent au crible près d’une trentaine de médicaments anti-cancer mis sur le marché au cours des quinze dernières années. Leurs conclusions sont sans appel. Études scientifiques à l’appui, ils soulignent l’inefficacité et souvent la toxicité de ces nouveaux traitements. Ces prétendues panacées vendues à prix d’or, qui creusent le trou de la Sécu, ne font du bien qu’aux finances des labos. Dans ce réquisitoire implacable contre l’influence croissante de Big Pharma, les auteurs condamnent l’accélération des procédures conduisant à l’autorisation de mise sur le marché des nouvelles molécules et l’inefficacité des autorités de santé.
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie.
Pour moi, le trophé de la futilité appartient à l'erlotinib poir le traitement du cancer du pancréas. Tant la FDA que l'EMA l'ont approuvé bien qu'il ne prolonge la vie que d'une dizaine de jours et qu'il soit toxique. Il couterait près de 500 000 dollars pour le gain d'une année de vie (soit pou chacun des 36 patients, 10 jours qu'il ne seront même pas plaisants)
pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse) Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH. Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie : Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).
a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie : Vinflunine (anticancéreux) : un cytotoxique à éviter…
votre enfant sera la prochaine victime de ce vaccin mortel
Stop gardasil
Il importe en effet de ne pas oublier que les vaccins proposés (Gardasil, Cervarix) n’ont toujours pas démontré plusieurs années après leur mise sur le marché qu’ils étaient capables de réduire l’incidence dans la population vaccinée des dysplasies sévères ou graves qui peuvent évoluer vers un cancer.
les médicaments qu'il prétend très aidera votre prostate - pourrait en fait augmenter votre risque de contracter la forme la plus mortelle et la plus agressive de cancer de la prostate!
Enantone (traitement du cancer de la prostate et endométriose)
la dernière méta-étude de Harvard 2006 sur plus de 70.000 cas; étude qui compare par ailleurs castration chirurgicale et castration chimique pour aboutir à la conclusion que les effets ne sont pas du tout les mêmes, et qu’il y a un très fort risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité qui n’est pas constaté dans le groupe ayant subi une orchidectomie.
En d'autres termes, la chimiothérapie, chirurgie et la radiothérapie faire tuer les cellules cancéreuses, mais ils doivent être utilisés dans de très faibles "doses", car ils ne ciblent pas les cellules cancéreuses. Les doses sont si faibles, et les dommages causés si haut, que les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s'est propagé) sans tuer le premier patient!
La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien"
Une nouvelle version d'un médicament contre le cancer ancienne, le Taxol, se vend à 4200 $ par dose. L'ancienne version, qui a des effets similaires, les coûts 25 fois moins.
L'utilisation prolongée du tamoxifène augmenterait les risques de souffrir d'un type rare de cancer du sein, selon une nouvelle étude.
Ce médicament a été Eli Lilly trouvé pour prévenir le cancer du sein par un tiers dans une étude de plus de 10.000 femmes ménopausées. Échanger votre prévention du cancer du sein à un risque accru de 50 pour cent des accidents vasculaires cérébraux mortels et de caillots sanguins. Ironically, Ironie du sort, Evista a été une fois vendue comme un médicament contre l'ostéoporose, étant
illégalement promu pour le traitement des maladies cardio-vasculaires en 2002.
GLEEVEC, également vendu sous le nom de Glivec. Ce médicament contre le cancer, utilisé pour traiter la leucémie, malheureusement détruit également les cellules du muscle cardiaque, ce qui peut causer la mort d'insuffisance cardiaque congestive.
Vous voulez la preuve ? Saviez-vous que les oncologues de 9 sur 10 refuseraient chimiothérapie s'ils avaient le cancer ? C'est à 91 % — un pourcentage énorme qui brille clairement une lumière sur la vérité : chimiothérapie tue. Oncologues classiques sont permettant pas seulement cela se produise, mais ils sont aussi intimidation de nombreux patients en chimiothérapie et la chirurgie juste après leur diagnostic. Pourquoi ce grand pourcentage des oncologues – ceux qui raconte autant des patients à obtenir une chimiothérapie – refuseraient de le faire eux-mêmes ? Parce qu'ils savent, qu'elle n'est pas seulement inefficace, mais extrêmement toxique. Peu importe, 75 % des patients atteints de cancer sont dirigés de recevoir une chimiothérapie. Pas encore assez choqué ? Un examen rigoureux de la chimiothérapie a révélé qu'il échoue pour 98% des personnes. Et lorsque la chimiothérapie a été testée contre l'absence de traitement, il n'y a pas de traitement qui a prouvé une meilleure option. De plus, c'est seulement deux à quatre pour cent des cancers répondent bien à la chimiothérapie.
Les balbutiements de la chimiothérapie moderne remontent à la découverte de l’efficacité des tristement célèbres gaz moutarde sur les cancers. En 1942, les pharmacologistes Louis Goodman Alfred Gilman, examinant le potentiel thérapeutique de certaines toxines développées par l’industrie militaire, observèrent lors d’autopsies de soldats exposés au gaz moutarde soufré (sulfure de 2,2'-dichlorodiéthyle), une importante hypoplasie lymphoïde associée à une myélosuppression (régression du système lymphatiqueet du nombre de globules sanguins, causant notamment une dépression immunitaire). Ils supposèrent que l’action mesurée d’un produit similaire à cet agent soufré pourrait causer une régression de tumeurs lymphatiques.
Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémoniqueEn réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables.Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémonique
avec des conséquences sinistres pour la production de nouveaux médicaments à l'avenir.47 sur les 53 ne pourrait pas être répliquées. Il a décrit ses conclusions dans un morceau de commentaire publié mercredi dans la revue Nature.
En 1989, Abel Ulrich, PhD, un biostatisticien allemand, a écrit une monographie intitulée « Chimiothérapie de Cancer épithélial avancé ». Elle a été plus tard éditée sous une forme plus courte dans un journal médical.Abel a présenté une analyse complète des épreuves cliniques et des publications représentant plus de 3.000 articles examinant la valeur de la chimiothérapie cytotoxique sur le cancer épithélial avancé. Le cancer épithélial est le type de cancer dont nous sommes le plus informé, résultant de l'épithélium trouvé dans la doublure des organes de corps tels que le sein, la prostate, le poumon, l'estomac, et les intestins. De ces emplacements, le cancer habituellement infiltre le tissu adjacent et métastase aux os, au foie, au poumon, ou au cerveau.Avec son étude approfondie, Abel conclu qu'il n'y a aucune évidence directe que la chimiothérapie prolonge la survie des patients présentant le carcinome avancé ; dans le cancer de poumon et le cancer ovarien peut-être, l'avantage thérapeutique est seulement léger. Selon Abel, « (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique. »Une décennie après l'examen approfondi de Abel sur la chimiothérapie, il semble qu'il n'y ait aucune diminution de son utilisation pour le carcinome avancé.Malheureusement, aucune étude complémentaire telle que celle du Dr. Abel n'existe pour indiquer s'il y a eu une amélioration des statistiques de survie au cancer depuis 1989. En fait, la recherche devrait être conduite pour déterminer si la chimiothérapie elle-même n'est pas responsable des cancers secondaires, plutôt que la progression de la maladie originelle. Nous continuons à nous interroger pourquoi des traitements alternatifs du cancer, pourtant scientifiquement validés, ne sont pas employés.
Le fait est que, selon les statistiques officielles elles-mêmes, les patients traités par chimiothérapie, opiacés ou radiothérapie décèdent, dans 98% des cas, dans les sept années suivant le traitement... Et 95% d’entre eux dans les cinq années suivant le traitement. Qu’avec de telles données on parle de succès en oncologie, cela laisse songeur
effets secondaires taxol
Or docétaxel, taxol ou taxotère, tous ces produits sont issus de la même molécule, le paclitaxel, un poison puissant que l’on trouve dans la nature au sein de champignons et certaines sortes d’ifs, et qui empêche la mitose (multiplication) des cellules. Aujourd’hui, un certain nombre de personnes faisant appel à l’association suivent des protocoles de chimiothérapies utilisant ces produits. Que répondre à leur questionnement sur la toxicité de ces chimios ?
Qu’effectivement, le paclitaxel, comme toutes les molécules utilisées pour les chimios, est avant tout un poison et que, de ce fait même, il agit comme tel, tuant les cellules cancéreuses mais attaquant également indifféremment les cellules saines et une partie de l’organisme. Résultat : des effets secondaires très lourds tels que la diminution des globules blancs, des plaquettes et des globules rouges, la perte de cheveux et l’inflammation des muqueuses, en particulier de la bouche. Egalement une atteinte des nerfs périphériques, parfois sévère, un risque de rétention hydrique (ascite, épanchements pleuraux ou péricardiques), des réactions cutanées, des réactions d’hypersensibilité à l’injection…
En outre, si la chimiothérapie, dans le meilleur des cas, va tuer une grande partie des cellules cancéreuses, elle ne guérira pas le malade du cancer : celui-ci étant la conséquence d’une inflammation (à ce propos, relire :
http://www.cancer-et-metabolisme.fr/cancer-et-metabolisme/), le cancer restera en latence tant que l’inflammation ne sera pas traitée…
Taxol / la chimiothérapie paciltaxel, traitement vendu par Bristol-Myers Squibb sous le nom de taxol est inefficace dans la traitement HER-2 négatif du cancer du sein, la forme la plus courant de la maladie, selon une étude publiée jeurdi dans le New England Journal of Médecine
Ces médicaments sont « parmi les plus utilisés dans le traitement de nombreux cancers », prévient l'agence. Les effets indésirables graves rapportés, parfois d'évolution fatale, sont liés à une surexposition au médicament dont le métabolisme et la dégradation dans l'organisme dépendent de l'enzyme DPD. Les patients présentant un déficit enzymatique en DPD partiel ou total, ont un risque accru de toxicité aiguë, précoce et grave. On estime le pourcentage de ces patients entre 3 et 10 % dans la population générale (entre 0,1 et 0,5 % au sein de la population caucasienne).
Selon l'ANSM, « entre 2005 et 2015, 1 505 cas d'effets indésirables graves ont été déclarés dans la base nationale de pharmacovigilance ». Ces cas ont abouti à 133 décès soit 8,83 % des cas déclarés.
histoires de survivants
dommages au cerveaux et vie détruite
Les évenements indésirables graves du traitement interferon
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.
par le professeur Henri Joyeux, chirurgien cancérologue à Montpellier
Au vu des résultats disponibles de la seule étude de phase III, à l’issue d’une analyse intermédiaire des données, seul un impact théorique modéré peut être attendu de l’évérolimus en termes de réduction de la morbidité. De plus, aucune amélioration de la survie globale n’a pu être
provoque le cancer et l’EPA est au courant
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.
avastin (anticorps monoclonaux) L'anticancéreux Avastin (bevacizumab),
médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).
Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois. ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour
traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…
Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan.
Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
Par nicole Delépine
Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix. Le Jevtana* va couter près de 100 millions d’euros à la collectivité en 2016 pour un bénéfice nul pour les malades.