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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 21:06
Les crimes persistants parce que le crime paie. Des sanctions plus sévères sont donc nécessaires, y compris des peines de prison pour les PDG et autres cadres supérieurs. Les médecins et leurs organisations doivent examiner attentivement s'ils trouvent éthiquement acceptable de recevoir de l'argent qui peut avoir été en partie gagné par des crimes préjudiciables aux patients.
 
 
 
La famille d'une femme décédée d'un cancer qui avait pris du Distilbène a obtenu 344 000 euros d'indemnités. Le laboratoire belge UCB Pharma, déjà condamné à payer pour le même motif, est poursuivi par beaucoup d'autres malades
 
10 juin 2005 : Le Tribunal de Grande Instance de Nanterre condamne le laboratoire UCB Pharma à payer des dommages-intérêts à 3 femmes atteintes de cancers (dommages-intérêts allant de 44.000 € à 263.000 €) et à 5 femmes souffrant de stérilité par malformations de l'appareil génital (dommages-intérêts allant de 9.000 € à 60.000 €).
 
Pfizter doit payer environ 1,8 millions de dollars en dommages-intérêts à une femme du Connecticut qui a développé un cancer du sein après la prise de la société Prempro la drogue de la ménopause
 
213 000 euros à une "fille Distilbène  La cour d'appel de Paris a confirmé, vendredi après-midi, la condamnation des laboratoires UCB Pharma et Novartis à payer une somme totale de 213 000 euros à une "fille Distilbène", souffrant d'un cancer, et à plusieurs de ses proches.  
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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 00:15

"Quand les pontes de l’industrie pharmaceutique se confondent avec ceux de l’industrie pétrochimique cancérigène, le cycle idiot dénonce la manne financière colossale résultant de ce cercle vicieux où responsables et sauveurs ne font qu’un. La réalisatrice hispano-canadienne Emmanuelle Schick Garcia plonge dans les coulisses de la maladie la plus lucrative de la planète. Nous sommes inondés de substances chimiques au quotidien, avec une exposition qui démarre dès le stade de la conception du foetus. Il existe plus de 50 millions de produits chimiques fabriqués par l’Homme, dont 100 000 utilisés quotidiennement, seulement 5000 de testés et dont 100 cancérigènes."

les conspirations courantes contre le cancer

"Big Pharma et les autres sociétés de produits chimiques réalisent d'énormes profits en vendant des produits chimiques cancérigènes qui sont déversés (souvent intentionnellement) dans notre nourriture, notre eau et notre air. Ensuite, ils font encore plus de profits en fabriquant et en vendant des médicaments coûteux, inefficaces et toxiques pour traiter les cancers et autres maladies causés par leurs propres produits. Ensuite, dans le jargon du baseball, ils complètent le « triple jeu » en vendant des médicaments supplémentaires pour rendre les effets secondaires des médicaments principaux plus supportables. Dans le jargon des affaires, l'industrie du cancer est assise sur une « vache à lait ». Malheureusement, cette vache à lait est une arnaque aux dépens des malades du cancer. "

William Avery Rockefeller est né en 1810 et mort en 1906, patriarche d’une dynastie aussi célèbre que discrète, et descendant d’immigrants allemands (Roggenfelder). Old Bill (son surnom), fermier à New-York jusqu’en 1850, se rendit ensuite à Cleveland, où il se fit passer frauduleusement pour un docteur en médecine Beaucoup de remèdes à base de pétrole étaient vendus comme « médicaments » par une clique d’escrocs et de charlatans, Seneca Oil, Rock Oil et American Medicinal Oil. [2]  Old Bill vendait des flacons de pétrole brut aux fermiers naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son élixir en flacon : Nujol (New Oil : Nouvelle Huile). Pendant que son fils John D. Rockefeller Ier fondait la Standard Oil Company, en 1870, grâce aux prêts d’une autre famille discrète et célèbre, les Rothschild, William achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars à tous ceux qu’il arrivait à convaincre qu’ils étaient malades et seraient mieux avec son « remède »

 

Bref, d’un coté, nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. La DGCCRF évalue à 1.5 kilo par an la quantité de pesticide que nous ingérons. (page 271)
 
certaines entreprises profitent non seulement de la fabrication des produits chimiques qui causent le cancer, mais aussi de la vente des médicaments qui les traitent.
 
Histoire des origines de la mafia médicale, les voyous dont vous pensiez qu’ils vous aidaient au mieux pour vos maladies
Les Rockefellers possèdent la plus grande fabrication de médicaments  dans le monde et utilisent tous leurs autres intérêts pour faire pression pour augmenter la vente de médicaments. Le fait que la plupart des 12 000 produits pharmaceutiques distincts sur le marché soient nocifs ne préoccupe pas le Drug Trust
 
se divise en deux branches : l’une fabrique des épidémies, l’autre les soigne
 
La Cour suprême des États-Unis déclare John Rockefeller et son trust coupable de corruption, de pratiques illégales et de racketérisme. Par conséquent, la totalité du trust Rockefeller Standard Oil, la plus grande entreprise du monde à cette époque, est condamné à la dissolution. Mais Rockefeller était déjà au-dessus de la Cour suprême et ne se souciait guère de cette décision.
 
C’est dans le domaine des médicaments chimiques que les effets sanitaires néfastes suscitent le plus d’émois. Chaque année apporte son lot de scandales qui démontrent à la fois le cynisme d’une industrie pharmaceutique extrêmement lucrative et l’incompétence des instances règlementaires laxistes.
 
« Un empoisonnement universel. Comment les produits chimiques ont envahi la planète »
Qui ne connaît pas aujourd’hui dans son entourage un cancéreux, un malade d’Alzheimer, un obèse ou un diabétique ? On assiste à une explosion de nature épidémique d’un certain nombre de maladies graves. Le cancer en France, c’est 110 % d’augmentation du nombre de cas annuels entre 1980 et 2012.
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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 00:13

"à l’origine de tous les cancers il y a une inflammation."

CRITIQUES DE LA CHIMIOTHÉRAPIE
"Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux."- Professeur G. Mathé, "L’Express" - 4/10/85. « La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture, mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. » Pr. Dr . J. HACKETAL ("Keine Angst vor Krebs").
 
l'ironie est que très peu de gens meurent du cancer. Tu meurs de diarrhée; tu meurs d'insuffisance rénale; tu meurs d'un arrêt cardiaque; tu meurs d'une infection massive.
C'est un génocide médical.
Nous n'avions pas de remèdes à l'époque; nous n'obtenons pas de remèdes maintenant, sauf pour les cancers mineurs. . . douze pour cent du cancer.
 
100 milliards de dollars dépensés chaque année pour des traitements de chimiothérapie toxiques qui causent des dommages aux patients et des effets secondaires appelés « cerveau chimio », un groupe d’experts du cancer commissionnés par l’Institut National du Cancer a admis publiquement il y a deux ans que des dizaines de millions de « cas de cancer » n’en étaient pas du tout.
 
Pourquoi tuer leur vache à lait ? S’ils peuvent garder en marche la machine à cancer bien huilée, ils vont continuer à faire des profits énormes grâce aux chimiothérapies, à la radiothérapie, aux procédures de diagnostic et interventions chirurgicales.
 
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas.
 
la Sécu tient les victimes par la barbichette, en leur refusant les congés maladie s’ils refusent la filière orthodoxe, afin d’opter pour des thérapies plus humaines et offrant plus de chances de succès.
 
le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s'avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu'il vaut mieux ignorer.
 
 
Pendant les années 70 il servit pendant deux ans au Directoire du Conseil National du Cancer. En 1975 on lui demanda ce qu'était le Programme National du Cancer. Il déclara “C'est un tas de merde.”
 
Que rapporte un essai clinique aux médecins : « Le cancer, un moyen de gagner de l'argent »
chimiothérapie : chaque malade inclus rapporte 7.000 €
antidépresseurs : 12 300 euros pour chaque malade suivi (soit 193000 euros)
 
Voici les faits. En 1942, Memorial Sloan-Kettering Cancer Centre tranquillement commencé à traiter le cancer du sein avec ces dérivés du gaz moutarde. Personne n'a été guéri. Des essais de chimiothérapie ont également été menées à Yale vers 1943 où 160 patients ont été traités. Encore une fois, personne ne fut guéri.
 
Certaines personnes développent un cancer après un stress intense ( décès , rupture ) , d’autres ne le font pas , c’est en fonction du taux d’intoxication par les produits chimiques ( mercure dentaire ;aluminium des vaccins ; glutamate de sodium ; alpartame ; les produits raffinés(sucre, sel, farines, huiles ) ;traitements chimique des légumes ; médicaments ; additifs alimentaires ; four à micro-ondes ; eaux nitratées ; tout ce qui est chimique ; tout ce qui n’est pas naturel .Et en fonction du manque de vitamines et surtout de vitamine C et de MAGNESIUM .
 
Deux pages consacrées au cancer, et à toutes les vérités cachées sur les traitements naturels, efficaces et non toxiques qui sont passés sous silence....
 
Une importante liste de liens cancer.
 
Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte.Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement.Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.
 
Une analyse d’études randomisées de dépistage à grande échelle montre que 20% des cancers du sein dépistés par mammographie, jusqu’à 60% des cancers de la prostate dépistés par dosage du PSA et autour de la moitié des cancers du poumon dépistés par radiographie et analyse des expectorations relèvent du surdiagnostic
 
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements … "Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans." : l'omerta médicale
 
Le surdépistage des cancers en est une facette particulièrement grave, compte tenu des conséquences extrêmes qu’elle peut induire (procédures inutiles et risquées, médicamentation très lourde qui peut être mortelle (un analogue agoniste GnRH (Enantone/Eligard/Viadur, Décapeptyl, Zoladex…) chez un homme de plus de 70 ans ayant des facteurs de risque cardiovasculaires risque beaucoup plus de le tuer qu’un cancer de la prostate – avant ou après lui avoir rendue la vie très pénible).
 
le nombre de cancers pour lesquels la prolongation de la vie grâce à la chimiothérapie a été prouvée par des essais cliniques randomisés est très faible. "Le traitement du cancer conventionnel et tellement toxique et déshumanisant que je le crains beaucoup plus que je ne crains la mort par cancer. Nous savons que la thérapie conventionnelle ne fonctionne pas, si elle fonctionnait, vous n'auriez pas a craindre le cancer, pas plus que vous craignez une pneumonie. Or l'absence totale de certitude quant à l'issue d'un traitement conventionnel qui crie presque plus de liberté de choix dans le domaine de la thérapie du cancer. Pourtant, la plupart des thérapies alternatives, indépendamment des avantages potentiels ou avérés, sont mis hors la loi, qui oblige les patients à se soumettre à des échecs que nous connaissons ne fonctionne pas, parce qu'il n'y a pas d'autre choix." Ralph W. Moss, Ph.D
 
Le Dr Hardin Jones, MD, professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley. Il a dit à un groupe ACS, "Mes études ont prouvé de façon concluante que les victimes du cancer non traitées peuvent effectivement vivre jusqu'à quatre fois plus longtemps que les personnes traitées. Pour un type typique du cancer, les personnes qui ont refusé le traitement ont vécu en moyenne des années 12-1/2. Ceux qui ont accepté types de chirurgie autres formes de traitement ont vécu en moyenne de trois ans seulement .... J'attribue cela à l'effet traumatique de la chirurgie sur le mécanisme de défense du corps naturel. Le corps a une défense naturelle contre tous les types de cancer. "G. Borell, L'histoire de peroxyde (Delano, Minnesota: ECHO, 1988), page 30. - Dr Hardin Jones est un professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley.
 
En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux.
 
"La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les docteurs utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs."
 
Depuis 50 ans, en dépit du bla-bla-bla que les institutions nous servent, aucun progrès effectif n’a été réalisé dans la recherche sur le cancer. Mieux, cet état de fait n’est pas un hasard mais une volonté politique avérée à but purement mercantile. D’ailleurs, tous ceux qui ont trouvé des remèdes efficaces ont été combattus, écartés, voire éliminés, et leurs méthodes ont été confisquées, réduisant les malades dissidents à se soigner et à guérir par effraction. Ce que j’ose prétendre depuis des années est une fois de plus confirmé par trois bombes médiatiques qui sont tombées récemment : 1 - L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique ! En effet, plusieurs responsables de recherche de la très réputée Harvard Medical School ont falsifié les résultats d'études scientifiques, ceci afin d’arriver à des conclusions qui leur permettaient de pouvoir prétendre à une subvention fédérale de 15 millions de dollars. Un procès va se tenir prochainement sur cette affaire. Mais ce n’est que l’arbre qui cache la forêt….. 2 - La plupart des études scientifiques sur le cancer sont bidons ! C. Glenn Begley, ancien patron d'un labo pharmaceutique a récemment lâché sa bombe dans un article de la revue Nature : sur 53 études de haut niveau (publiées dans les revues les plus sérieuses) qu'il avait jugées intéressantes dans le cadre du développement de nouveaux médicaments anti-cancer, 47 (soit 88%) n'ont jamais pu être reproduites par ses équipes ! Begley a alors aménagé une rencontre avec plusieurs responsables de ces fausses études. Et voici ce qu'il raconte sur l'un de ces rendez-vous : « Je lui ai expliqué que nous avions refait leur expérience 50 fois sans jamais parvenir au même résultat qu'eux. Il m'a répondu qu'ils avaient fait six tentatives, obtenant le résultat une seule fois, mais c'est bien celui-là qu'ils ont choisi de publier car il sonnait mieux… » Ce cas n’est malheureusement pas isolé, loin de là, et c’est le système de financement des labos de recherche qui est à revoir. 3 - Des médicaments anti-cancer qui font flamber les cancers ! Le problème est que ces études malhonnêtes constituent une base de développement pour des nouveaux médicaments, tels le Glivec et le Sutent, anti-angiogéniques dont le principe est de bloquer l'irrigation sanguine des tumeurs dans l’espoir de les tuer. Manque de chance, une équipe scientifique a montré que cette technique tue aussi les péricytes environnantes, qui ont pour fonction de combattre la tumeur. Résultat : la tumeur diminue bel et bien en volume, mais elle dissémine beaucoup plus rapidement ses cellules cancéreuses dans le reste de l'organisme. C’est ce qu’a déclaré le professeur Raghu Kalluri, responsable de l'étude. Ceci n’empêche pas que le Glivec depuis 2001 et le Sutent depuis 2006 soient toujours autorisés et administrés officiellement dans la plupart des chimios en Europe, sans états d’âme. Mais Motus et bouche cousue ! Business is business ! Et les morts ne font jamais de réclamations……
 
" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."
 
«Cet article confirme que le surdiagnostic est un problème fréquent dans les cancers d’évolution lente comme ceux de la thyroïde et surtout ceux de la prostate »
 
C'est donc incroyable. Ca le sera encore plus si nous ajoutons qu'on le sait depuis plus de 30 ans
 
"Malgré la large utilisation des chimiothérapies, la mortalité par cancer du sein n'a pas changé dans les 70 dernières années"
 
Cela fait maintenant 32 ans que le Président Nixon a déclaré la guerre au cancer. Depuis, on a dépensé 2 billions de dollars pour la recherche et les traitements anticancéreux conventionnels, avec pour conséquence un nombre plus important que jamais de
 
Une combinaison simple des aliments pouvait arrêter des cellules de cancer d'envahir la matrice de collagène !
 
« (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique.
 
« L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un fait frappant : 20% des opérés meurent d'une récidive locale, 80% meurent de métastases à distance » Pr. Lucien Israël in « Le Cancer aujourd'hui »
 
Les patients qui meurent au cours d’un traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas comptabilisés dans les statistiques lorsqu’ils n’ont pas reçu l’intégralité du traitement.
 
Enfin révélée, elle a provoqué l’émoi de tous les médias grand public : la consommation de vitamines et de minéraux antioxydants naturellement présents dans les fruits et légumes ferait baisser d’un tiers le risque de cancer chez les hommes de 45 à 60 ans. Une étude réalisée par des chercheurs de l’Inserm sur un échantillon de 13 000 volontaires et consistant à donner une supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants confère une dimension chiffrée et officielle à ce que les médecins de terrain et ceux qui pratiquent les médecines naturelles savent depuis la nuit des temps.....Si la méthode avait été adoptée, elle aurait abouti à une large éradication du cancer. Un effondrement du nombre de cancers provoquerait certainement un effondrement du taux de remplissage des cliniques et hôpitaux : beaucoup ne seraient plus rentables... et, expliquait-il, un allongement de la durée de vie rendrait insoluble le problème du paiement des retraites...
 
Les statistiques montrent que l'on survit plus longtemps avec un cancer non traité que traité. On parle certes de prévention - mais cela consiste en messages destinés à distiller la peur, facteur elle-même de maladie.
 
L'Organisation mondiale de la Santé a admis ceci : « Le cancer est une cause majeure de décès dans le monde. » Depuis près de 40 ans, la Zunie a dépensé 200 milliards de dollars à « essayer » sans succès de trouver un remède. Mais, la plupart des médecins ne sont même pas capables de vous dire pourquoi la médecine (du cancer) est un pareil fiasco. (Suggestion : il y a un dessein caché.) Saviez-vous que le coût moyen du traitement conventionnel pour le cancer dépasse 300.000 dollars ?
 
informez vous !
 
Dans un scandale qui a résonné partout dans le monde de la recherche sur le cancer, l'Office of Research Integrity au Département américain de la Santé a révélé que un scientifique de Boston University cancer fabriqué ses conclusions. Son travail a été publié dans deux journaux en 2009, et il a été ordonné de les retirer. Mais d'importantes études par d'autres scientifiques, comme ceux de la Clinique Mayo, qui a basé son travail sur ses constatations, pourrait maintenant faire 10 années de leurs études sans valeur, selon le commentaire de la santé Gaia.
 
Le 13 décembre 1974, lors d’une réunion qui a lieu chez Madame le Professeur Ripoche au 46 rue de Spontini entre Monsieur Charbonnot, Directeur Général de la Santé, le professeur Lechat qui était chargé de la pharmacovigilance au Ministère de la Santé et M. Poniatowski, Ministre de la Santé, il est décidé de ne pas rendre publiques les travaux de M. Gernez, ceci contre l’avis du ministre ... ensuite, chantage pour que le Dr Gernez cesse ses travaux, 3800 médecins prêts à mettre le protocole de prévention en pratique reçoivent une lettre émanant d’un dénommé Moulin qui était à l’époque secrétaire, ou sous-secrétaire de l’ordre des médecins ...

"si les laboratoires pharmaceutiques fabriquaient des médicaments qui guérissent, ils seraient tous en faillite"

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"La plupart du temps, les traitements du cancer ne prolongent pas la vie, ils la raccourcissent"

Le cancer, les traitements, dépistages... sur internet
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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 00:10
William Avery Rockefeller est né en 1810 et mort en 1906, patriarche d’une dynastie aussi célèbre que discrète, et descendant d’immigrants allemands (Roggenfelder). Old Bill (son surnom), fermier à New-York jusqu’en 1850, se rendit ensuite à Cleveland, où il se fit passer frauduleusement pour un docteur en médecine Beaucoup de remèdes à base de pétrole étaient vendus comme « médicaments » par une clique d’escrocs et de charlatans, Seneca Oil, Rock Oil et American Medicinal Oil. [2]  Old Bill vendait des flacons de pétrole brut aux fermiers naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son élixir en flacon : Nujol (New Oil : Nouvelle Huile). Pendant que son fils John D. Rockefeller Ier fondait la Standard Oil Company, en 1870, grâce aux prêts d’une autre famille discrète et célèbre, les Rothschild, William achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars à tous ceux qu’il arrivait à convaincre qu’ils étaient malades et seraient mieux avec son « remède ».
 
De tous les essais cliniques financés par l’industrie pharmaceutique, moins de 6% sont publiés, et sur ces 6%, 75% arrivent à des conclusions favorables pour les médicaments étudiés.
 
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique - et cancérologique en particulier : 1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer... sont bidons ! 2/ L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique 3/ Des médicaments contre le cancer... qui favorisent le cancer !
 
des médicaments estimés efficaces et censés réduire nettement le taux de mortalité ont en fait un bénéfice largement surévalué
 
Plusieurs études internationales récentes, publiées dans de grandes revues de cancérologie, montrent que 85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable (trop peu efficace et/ou trop toxique) et que trop peu d’entre eux sont retirés du marché ou trop tardivement. L’agence européenne, dont les experts sont trop liés aux firmes, privilégie constamment l’intérêt de l’industrie sur la sécurité des malades, encouragée par la Commission européenne dont tous les rapports soulignent la « porosité » aux représentants industriels. L’un des derniers directeurs de l’EMA, une fois son mandat terminé, a été immédiatement nommé directeur pour l’Europe d’une grande firme pharmaceutique qu’il avait « contrôlée » durant son mandat, et en toute impunité.
 
la chimiothérapie pourraient endommager des cellules dites saines et les pousser à produire une protéine nommée WTN qui alimente la tumeur. Ce phénomène favoriserait donc les risques de rechute et de prolifération des métastases.
 
le catumaxomab (Removab®); le panitumumab (Vectibix®); la trabectédine (Yondelis®), le vandétanib (Caprelsa®), la vinflumine (Javlor®), le fer dextran (Ferrisat®).
 
Ces antitumoraux sont les suivants : mifamurtide (Mepact), nintédanib (Vargatef), olaparib (Lynparza), panobinostat (Farydak), trabectédine (Yondelis), le vandétanib (Caprelsa), la vinflumine (Javlor)
 
catumaxomab (Removab) dans l’ascite maligne, à la suite du retrait de l’AMM dans l’Union européenne.
 
(Tumeurs solides réfracraires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois) :LA
 
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts. Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité
 
le glivec et le sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib)
« Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. »
 
"Big Pharma trouve une nouvelle utilisation des statines chez les patients atteints de cancer, après qu'une vaste étude révèle que les avantages du médicament ont été fabriqués à 100%"
 
Chaque année au Royaume-Uni, 200.000 cas de cancers sont diagnostiqués et 152.500 personnes en meurent.
 
Javlor° a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie et un prix déconnecté de la qualité des soins.
 
Il s’agit du 5-fluorouracile et la gemcitabine, utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas. Le principe est simple : plus vous utilisez ces médicaments, et plus votre tumeur est irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Au lieu de supprimer ce médicament et en donner un deuxième au patient, pour compenser les effets négatifs du premier, les sociétés pharmaceutiques continuent de distribuer ce poison.
 
l’Agence Fédérale de la Santé nous refusa l’accès à ce traitement qui pouvait peut-être sauver Alexandre
Par exemple, nous avons découvert que le protocole, soit disant à la pointe du progrès, dont notre fils avait bénéficié était reconnu comme étant inefficace depuis plusieurs années. En 1994, les mêmes médicaments utilisés en chimiothérapie avaient été administrés à des enfants de deux ans, eux aussi atteints d’un médulloblastome. L’expérience se révéla si infructueuse que les tumeurs réapparurent en moyenne au bout de cinq mois, et que les médecins durent arrêter le protocole. Comment expliquer alors, qu’un traitement déjà testé et avéré totalement inefficace ait pu nous être présenté des années après comme étant le nec plus ultra ? Nous n’avions jamais été informé de l’échec de ce traitement. Nous avons aussi réalisé que nous n’étions pas les seuls parents à être victimes de cette désinformation intentionnelle. 
A l’heure actuelle, on continue à induire en erreur des parents et à prescrire les mêmes médicaments dangereux à des enfants. Et même si vous savez pertinemment que les thérapies conventionnelles ne fonctionnent pas, vous n’aurez peut-être pas d’autre choix.. En effet, lorsque les médecins ont décelé notre hésitation à l’égard de la chimiothérapie, ils nous ont menacé de nous retirer Alexandre par décision judiciaire.
 
William Campbell Douglass II, MD - "Pour comprendre l'hypocrisie totale de la chimiothérapie, considérer les points suivants: Le Centre cancer de McGill au Canada, l'un des centres les plus importants et les plus prestigieux de traitement du cancer dans le monde, a fait une étude d'oncologues afin de déterminer comment ils répondrait à un diagnostic de cancer. Sur le questionnaire confidentiel, 58 des 64 médecins ont dit que tous les programmes de chimiothérapie étaient inacceptables pour eux et leurs membres de la famille. La raison impérieuse de cette décision était que les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité. Ce sont les mêmes médecins qui vous diront que leurs traitements de chimiothérapie va diminuer votre tumeur et prolonger votre vie! Il ya trente ans, j'ai travaillé avec un radiologue qui m'a dit ceci: «. Si je reçois le cancer, je vais au Mexique" Donc, si vous obtenez le cancer, ne pas appeler votre médecin, appelez votre agent de voyages. Il existe des traitements alternatifs disponibles, mais vous devrez exécuter toute la gamme des chimiothérapeutes outragés, radiologues, chirurgiens et d'en trouver un. Ils se serviront de cajoleries, les insultes, la
 
Son « crime » est d’avoir voulu inventer un produit anti-cancéreux, diffusé dans près de 80 pays, le 714-X. Il existe de nombreux témoignages de guérisons de cancers, y compris au stade terminal, pour le 714-X. Il est par ailleurs prouvé depuis 1978 que ce produit est dépourvu de toute toxicité ou effet secondaire. Mais en tant que patient français ou belge, vous n’y avez pas droit.
 
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements
 
la chimiothérapie a amélioré la survie de moins de 3% chez les adultes atteints d'un cancer. Voulez-vous dire que les oncologues médicaux en Australie sont simplement trier des escrocs de marketing ou quoi ?
 
De l’Erbitux (côlon) à l’Avastin (ovaire, utérus, rein) en passant par le Jevtana (prostate), les infatigables docteurs Nicole et Gérard Delépine montent à nouveau au créneau et passent au crible près d’une trentaine de médicaments anti-cancer mis sur le marché au cours des quinze dernières années. Leurs conclusions sont sans appel. Études scientifiques à l’appui, ils soulignent l’inefficacité et souvent la toxicité de ces nouveaux traitements. Ces prétendues panacées vendues à prix d’or, qui creusent le trou de la Sécu, ne font du bien qu’aux finances des labos. Dans ce réquisitoire implacable contre l’influence croissante de Big Pharma, les auteurs condamnent l’accélération des procédures conduisant à l’autorisation de mise sur le marché des nouvelles molécules et l’inefficacité des autorités de santé.
 
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie.
 
Pour moi, le trophé de la futilité appartient à l'erlotinib poir le traitement du cancer du pancréas. Tant la FDA que l'EMA l'ont approuvé bien qu'il ne prolonge la vie que d'une dizaine de jours et qu'il soit toxique. Il couterait près de 500 000 dollars pour le gain d'une année de vie (soit pou chacun des 36 patients, 10 jours qu'il ne seront même pas plaisants)
 
pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse) Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH.  Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie : Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).
 
a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie : Vinflunine (anticancéreux) : un cytotoxique à éviter…
 
votre enfant sera la prochaine victime de ce vaccin mortel
 
Stop gardasil
 
Il importe en effet de ne pas oublier que les vaccins proposés (Gardasil, Cervarix) n’ont toujours pas démontré plusieurs années après leur mise sur le marché qu’ils étaient capables de réduire l’incidence dans la population vaccinée des dysplasies sévères ou graves qui peuvent évoluer vers un cancer.
 
les médicaments qu'il prétend très aidera votre prostate - pourrait en fait augmenter votre risque de contracter la forme la plus mortelle et la plus agressive de cancer de la prostate!
 
Enantone (traitement du cancer de la prostate et endométriose)
la dernière méta-étude de Harvard 2006 sur plus de 70.000 cas; étude qui compare par ailleurs castration chirurgicale et castration chimique pour aboutir à la conclusion que les effets ne sont pas du tout les mêmes, et qu’il y a un très fort risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité qui n’est pas constaté dans le groupe ayant subi une orchidectomie.
 
En d'autres termes, la chimiothérapie, chirurgie et la radiothérapie faire tuer les cellules cancéreuses, mais ils doivent être utilisés dans de très faibles "doses", car ils ne ciblent pas les cellules cancéreuses. Les doses sont si faibles, et les dommages causés si haut, que les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s'est propagé) sans tuer le premier patient!
 
La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien"
 
Une nouvelle version d'un médicament contre le cancer ancienne, le Taxol, se vend à 4200 $ par dose. L'ancienne version, qui a des effets similaires, les coûts 25 fois moins.
 
L'utilisation prolongée du tamoxifène augmenterait les risques de souffrir d'un type rare de cancer du sein, selon une nouvelle étude.
 
Ce médicament a été Eli Lilly trouvé pour prévenir le cancer du sein par un tiers dans une étude de plus de 10.000 femmes ménopausées. Échanger votre prévention du cancer du sein à un risque accru de 50 pour cent des accidents vasculaires cérébraux mortels et de caillots sanguins. Ironically, Ironie du sort, Evista a été une fois vendue comme un médicament contre l'ostéoporose, étant illégalement promu pour le traitement des maladies cardio-vasculaires en 2002. GLEEVEC, également vendu sous le nom de Glivec. Ce médicament contre le cancer, utilisé pour traiter la leucémie, malheureusement détruit également les cellules du muscle cardiaque, ce qui peut causer la mort d'insuffisance cardiaque congestive.
 
Vous voulez la preuve ? Saviez-vous que les oncologues de 9 sur 10 refuseraient chimiothérapie s'ils avaient le cancer ? C'est à 91 % — un pourcentage énorme qui brille clairement une lumière sur la vérité : chimiothérapie tue. Oncologues classiques sont permettant pas seulement cela se produise, mais ils sont aussi intimidation de nombreux patients en chimiothérapie et la chirurgie juste après leur diagnostic. Pourquoi ce grand pourcentage des oncologues – ceux qui raconte autant des patients à obtenir une chimiothérapie – refuseraient de le faire eux-mêmes ? Parce qu'ils savent, qu'elle n'est pas seulement inefficace, mais extrêmement toxique. Peu importe, 75 % des patients atteints de cancer sont dirigés de recevoir une chimiothérapie. Pas encore assez choqué ? Un examen rigoureux de la chimiothérapie a révélé qu'il échoue pour 98% des personnes. Et lorsque la chimiothérapie a été testée contre l'absence de traitement, il n'y a pas de traitement qui a prouvé une meilleure option. De plus, c'est seulement deux à quatre pour cent des cancers répondent bien à la chimiothérapie.
 
Les balbutiements de la chimiothérapie moderne remontent à la découverte de l’efficacité des tristement célèbres gaz moutarde sur les cancers. En 1942, les pharmacologistes Louis Goodman Alfred Gilman, examinant le potentiel thérapeutique de certaines toxines développées par l’industrie militaire, observèrent lors d’autopsies de soldats exposés au gaz moutarde soufré (sulfure de 2,2'-dichlorodiéthyle), une importante hypoplasie lymphoïde associée à une myélosuppression (régression du système lymphatiqueet du nombre de globules sanguins, causant notamment une dépression immunitaire). Ils supposèrent que l’action mesurée d’un produit similaire à cet agent soufré pourrait causer une régression de tumeurs lymphatiques.
 
Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémoniqueEn réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables.Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémonique
 
avec des conséquences sinistres pour la production de nouveaux médicaments à l'avenir.47 sur les 53 ne pourrait pas être répliquées. Il a décrit ses conclusions dans un morceau de commentaire publié mercredi dans la revue Nature.
 
En 1989, Abel Ulrich, PhD, un biostatisticien allemand, a écrit une monographie intitulée « Chimiothérapie de Cancer épithélial avancé ». Elle a été plus tard éditée sous une forme plus courte dans un journal médical.Abel a présenté une analyse complète des épreuves cliniques et des publications représentant plus de 3.000 articles examinant la valeur de la chimiothérapie cytotoxique sur le cancer épithélial avancé. Le cancer épithélial est le type de cancer dont nous sommes le plus informé, résultant de l'épithélium trouvé dans la doublure des organes de corps tels que le sein, la prostate, le poumon, l'estomac, et les intestins. De ces emplacements, le cancer habituellement infiltre le tissu adjacent et métastase aux os, au foie, au poumon, ou au cerveau.Avec son étude approfondie, Abel conclu qu'il n'y a aucune évidence directe que la chimiothérapie prolonge la survie des patients présentant le carcinome avancé ; dans le cancer de poumon et le cancer ovarien peut-être, l'avantage thérapeutique est seulement léger. Selon Abel, « (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique. »Une décennie après l'examen approfondi de Abel sur la chimiothérapie, il semble qu'il n'y ait aucune diminution de son utilisation pour le carcinome avancé.Malheureusement, aucune étude complémentaire telle que celle du Dr. Abel n'existe pour indiquer s'il y a eu une amélioration des statistiques de survie au cancer depuis 1989. En fait, la recherche devrait être conduite pour déterminer si la chimiothérapie elle-même n'est pas responsable des cancers secondaires, plutôt que la progression de la maladie originelle. Nous continuons à nous interroger pourquoi des traitements alternatifs du cancer, pourtant scientifiquement validés, ne sont pas employés.
 
Le fait est que, selon les statistiques officielles elles-mêmes, les patients traités par chimiothérapie, opiacés ou radiothérapie décèdent, dans 98% des cas, dans les sept années suivant le traitement... Et 95% d’entre eux dans les cinq années suivant le traitement. Qu’avec de telles données on parle de succès en oncologie, cela laisse songeur
 
effets secondaires taxol
 
 
Or docétaxel, taxol ou taxotère, tous ces produits sont issus de la même molécule, le paclitaxel, un poison puissant que l’on trouve dans la nature au sein de champignons et certaines sortes d’ifs, et qui empêche la mitose (multiplication) des cellules. Aujourd’hui, un certain nombre de personnes faisant appel à l’association suivent des protocoles de chimiothérapies utilisant ces produits. Que répondre à leur questionnement sur la toxicité de ces chimios ?
Qu’effectivement, le paclitaxel, comme toutes les molécules utilisées pour les chimios, est avant tout un poison et que, de ce fait même, il agit comme tel, tuant les cellules cancéreuses mais attaquant également indifféremment les cellules saines et une partie de l’organisme. Résultat : des effets secondaires très lourds tels que la diminution des globules blancs, des plaquettes et des globules rouges, la perte de cheveux et l’inflammation des muqueuses, en particulier de la bouche. Egalement une atteinte des nerfs périphériques, parfois sévère, un risque de rétention hydrique (ascite, épanchements pleuraux ou péricardiques), des réactions cutanées, des réactions d’hypersensibilité à l’injection…
En outre, si la chimiothérapie, dans le meilleur des cas, va tuer une grande partie des cellules cancéreuses, elle ne guérira pas le malade du cancer : celui-ci étant la conséquence d’une inflammation (à ce propos, relire : http://www.cancer-et-metabolisme.fr/cancer-et-metabolisme/), le cancer restera en latence tant que l’inflammation ne sera pas traitée…
 
Taxol / la chimiothérapie paciltaxel, traitement vendu par Bristol-Myers Squibb sous le nom de taxol est inefficace dans la traitement HER-2 négatif du cancer du sein, la forme la plus courant de la maladie, selon une étude publiée jeurdi dans le New England Journal of Médecine
 
Ces médicaments sont « parmi les plus utilisés dans le traitement de nombreux cancers », prévient l'agence. Les effets indésirables graves rapportés, parfois d'évolution fatale, sont liés à une surexposition au médicament dont le métabolisme et la dégradation dans l'organisme dépendent de l'enzyme DPD. Les patients présentant un déficit enzymatique en DPD partiel ou total, ont un risque accru de toxicité aiguë, précoce et grave. On estime le pourcentage de ces patients entre 3 et 10 % dans la population générale (entre 0,1 et 0,5 % au sein de la population caucasienne).
Selon l'ANSM, « entre 2005 et 2015, 1 505 cas d'effets indésirables graves ont été déclarés dans la base nationale de pharmacovigilance ». Ces cas ont abouti à 133 décès soit 8,83 % des cas déclarés.
 
histoires de survivants
 
dommages au cerveaux et vie détruite
 
Les évenements indésirables graves du traitement interferon
 
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.
 
par le professeur Henri Joyeux, chirurgien cancérologue à Montpellier
 
Au vu des résultats disponibles de la seule étude de phase III, à l’issue d’une analyse intermédiaire des données, seul un impact théorique modéré peut être attendu de l’évérolimus en termes de réduction de la morbidité. De plus, aucune amélioration de la survie globale n’a pu être
 
provoque le cancer et l’EPA est au courant
 
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus
 
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.
 
avastin (anticorps monoclonaux) L'anticancéreux Avastin (bevacizumab),
médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).
 
Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois. ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.
 
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie
 
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…
 
Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)
 
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan.
Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves
 
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
 
Par nicole Delépine
 
Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix. Le Jevtana* va couter près de 100 millions d’euros à la collectivité en 2016 pour un bénéfice nul pour les malades.
Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix.
Il faut aussi tenir compte des complications du Sutent : épuisement (18% des malades traités), hypertension, (16%), syndrome pied main (33%), diarrhées (10%), hypothyroïdie sévère5 (4%), baisse des plaquettes sanguines (10%), et des globules blancs (7%), phlébites et embolies (1.3%)[12], accidents cardiaques et toxicité hépatique pouvant entraîner la mort. Des complications sévères nécessitant une prise en charge médicale ont émaillé les traitements de 57% des patients obligeant les médecins à réduire les doses initialement prescrites de 50 mg à 37.5 mg.
 
L’histoire du Yondelis* (trabectédine) pour les sarcomes des parties molles montre qu’en France, un médicament inutile et toxique pour les malades peut malgré tout être remboursé à un prix très élevé et que, qui plus est, des sociétés savantes et associations de malades se mobilisent, non pas pour en dénoncer le prix, mais pour en prolonger le remboursement.
EFFICACITE REELLE DU YONDELIS : aucune amélioration de survie globale
 
Le docétaxel, une molécule extrêmement répandue pour traiter les cancers du sein, est dans le viseur des autorités sanitaires. Après avoir reçu leur traitement, plusieurs femmes ont été victimes d'entérocolite, une inflammation simultanée des muqueuses de l'intestin grêle et du côlon. Parmi elles, cinq sont décédées
 
Traitement du cancer du poumon non à petites cellules
Pour le cancer des poumons, il a reçu une AMM de la FDA le 2 10 2015 sur la foi des résultats de l’essai keynote 01. Sur l’ensemble des 550 malades souffrant de cancers des poumons, les résultats de l’essai n’étaient guère positifs mais l’analyse des premiers résultats a permis d’isoler un sous-groupe de 61 patients dont les tumeurs, qui produisaient intensément la protéine PD-L1, étaient plus sensibles au keytruda* (42% de réponses partielles).
Et c’est sur cette réponse de la tumeur (critère subjectif) dans un essai ouvert[10] comparant le keytruda* à lui-même, sur un petit sous-groupe défini après l’examen des premiers résultats que la FDA a accordé l’AMM ! Pourtant une telle méthode d’analyse est statistiquement peu probante et ne comporte aucune évaluation de la balance avantages/risques.
Cancer : les nouveaux médicaments sont peu ou pas efficaces
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