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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 00:04

Traitements naturels, contre traitements de l'industrie du cancer : cette pharmacienne survivante du cancer du sein, explique

 "Le même cancer, moi vivante, elle morte !!!"

"faux positif, qui, selon un article publié dans "the Lancet", concerne plus de 93% de l'ensemble des résultats de mammographies."  extrait de "Toute la vérité sur le cancer" de ty Bollinger page 160
 
"Un thermogramme, en revanche, n’a pas plus de 9% de chances de donner un faux positif ou un faux négatif" 
 
anti campagne rose
un site de médecins
 
"les mammographies peuvent accentuer le risque de développer un cancer autant que de 3 % par an en irradiant les cellules mammaires et en déclenchant le cancer.""
 
Dépliant explicatif en français
"Le dépistage ne réduit pas le risque global de déc s ni le risque global de décès par cancer (y compris le cancer du sein) (5). Il semble donc que les femmes qui vont se faire dépister ne vivent pas plus longtemps que les femmes qui ne vont pas se faire dépister."
 
Les effets néfastes de l'augmentation des biopsies et du surdiagnostic de cancers du sein qui n'auraient jamais produit de symptômes au cours de la vie d'une personne ou ne seraient jamais devenus cliniquement pertinents ont été mis en balance avec le léger avantage d'un dépistage répété. Un surdiagnostic peut augmenter l'impact du cancer sur la qualité de vie et la longévité, car il conduit à un traitement excessif, exposant les patients à des dommages potentiels sans offrir aucun avantage.
 
Refuser les traitements conventionnels contre le cancer  et ne rien faire  a permis aux patients cancéreux de vivre  plus de quatre fois plus longtemps  que leurs homologues plus conformes. C'est quelque chose dont vous n'entendrez jamais parler dans les médias grand public, qui continuent de colporter le mythe selon lequel les  patients atteints de cancer ont d'une  manière ou  d'une autre besoin d' un  poison injecté dans leur corps pour survivre et atteindre le statut de "guérison".
 
Journal of the Royal Society of Medicine, septembre 2015
 
plus de cent hommes et cent femmes seraient chaque jour diagnostiqués puis traités inutilement. Ainsi, en quinze ans, la France aurait «soigné» un million de personnes pour un cancer de la prostate ou du sein qui n’en était pas un.
Selon des études récentes, un traitement précoce pourrait même accélérer le développement de métastases dans les organes vitaux ! Contrairement à ce que soutient la propagande médicale, le diagnostic rapide et la prise en charge hâtive n’améliorent d’ailleurs nullement le taux de survie général
 
Les trois effets adverses au dépistage sont le surdiagnostic, les fausses alertes et l'exposition aux radiations. Ces trois effets indésirables, quand on les met bout-à-bout, dépassent largement le potentiel bénéfice très hypothétique qu'on peut en retirer.
 
Les mammographies causent le cancer
 
Comme l’explique la Dr Véronique DESAULNIERS(Canada),en ce qui concerne le cancer du sein, il n’y a ni facteur génétique ni hérédité.
Angelina JOLIE a été trompée et mal informée.
De plus,les mêmes gènes peuvent être aussi bien activés que désactivés par des substances naturelles phytochimiques.Contrairement à ce que pensent la plupart des gens qui est qu’on est une victime d’un cancer,nous avons beaucoup de contrôle sur le cancer.
Dans son livre «Prévenir le cancer du sein», le Professeur J.W. Goffman, montre que l’exposition aux radiations ionisantes, principalement aux rayons X, est responsable d’environ 75 % des cancers du sein aux États-Unis. Une mammographie tout les 10 ans augmenterait de 9% le risque de cancer.
 
"Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteint de cancer du sein est d'éviter assister dépistage." Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.
 
Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements. Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les «dictateurs du scalpel et du radium» ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait: «Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.» D’autres médecins partagent ce point de vue.
 
Se basant sur des études menées entre 1963 et 1991, le groupe de médecins et de scientifiques suisses relève plus d'inconvénients que d'avantages à ces mammographies
 
Le blog de l'auteur du livre
 
« Sur 2 000 femmes participant au dépistage pendant dix ans, la vie d’une seule femme est prolongée grâce au dépistage et au traitement précoce, explique le Dr Gøtzsche, mais dix seront diagnostiquées et traitées à tort
 
"Certains cancers du sein n'ont pas de conséquence clinique, la patiente décédant avant toute manifestation de son cancer du sein. Le dépistage de ces cancers aboutit à un diagnostic par excès. Les diagnostics par excès des mammographies de dépistage concernent vraisemblablement 30 % à 50 % des diagnostics de cancer du sein"
 
Mais l’intérêt primordial de cette étude est, à mon humble avis, que les auteurs étaient partis avec l’hypothèse de démontrer que les statines diminuent le risque de cancer du sein ; et ils ont trouvé le contraire ! Obligés d’admettre mais un peu perdus !
 
Ce dépistage systématique n’apporte pas d’amélioration en termes de mortalité, sur-diagnostics, souffrance et mutilations supplémentaires : la balance bénéfice/ risque n’est pas favorable. Voilà pourquoi, à la lumière des données actuelles de la science, j’ai décidé à titre personnel de ne pas suivre vos conseils et de ne pas subir de mammographie de dépistage. En tant que médecin et en vertu de la Loi 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades, j’apporterai à mes patientes toutes les informations qui leur seront nécessaires pour qu’elles puissent décider, pour elles mêmes, en toute connaissance de cause.
 
 
Cancer du sein : la pertinence du dépistage en question
Des spécialistes critiquent l'efficacité et le manque d'objectivité de l'Institut national du cancer dans l'information de la population à l'occasion de la campagne de sensibilisation Octobre rose.
 
Lors d'autopsies de personnes décédées pour d'autres raisons, on constate souvent des cancers qui n'ont donné aucun symptôme clinique du vivant de ces personnes.
 
sur les 260.000 décès par cancer enregistré en Allemagne, entre 10.000 et 20.000 sont à mettre sur le compte des rayonnements
 
Surdépistage du cancer du sein: les femmes otages de l'industrie pharmaceutique du cancer Voici une caricature de Adams et Berger qui montre à quel point le corps des femmes est devenu objet de commerce, pris en otage par l'industrie du cancer ou "l'économie du cancer"
 
La chimiothérapie peut causer le cancer
 
Pour la chimiothéraie et la radiothérapie, les études seraient biaisées. On peut pas laisser les malades sans espoir et ces méthodes sont très lucratives pour les hôpitaux qui sont des véritables entreprises ou seul le chiffre d'affaire est important.
 
Même si ce dépistage ne se traduit par aucun bénéfice en termes de survie (âge de décès toujours à 68 ans), on a mécaniquement augmenté la durée de survie des malades, puisqu’on est passé de 8 ans (68 ans – 60 ans) à 11 ans (68 ans – 57 ans). Un coup dans l’eau ? Pas tout à fait : de 57 à 60 ans, on aura quand même perdu 3 ans de vie normale et il suffit de renvoyer chacun(e) à son expérience de la chose pour comparer trois ans de chirurgie/radiothérapie/chimiothérapie à trois ans de douce inconscience – pour un bénéfice strictement nul en termes d’espérance de vie.
 
Cancer du sein
 
Les dangers et le manque de fiabilité du dépistage sont aggravés par ses coûts grandissants et inflationnistes.
 
le Dr Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leucémie était en radiation médicale dans la forme de diagnostic médical de rayons X
 
"Si une femme a une mammographie annuelle dès l'age de 55 à 75 ans, elle recevra un minimum de 20 rads de rayons.A titre de comparaison, les femmes qui ont survécu aux attentats à la bombe atomique à Hiroshima ou Nagasaki ont absorbées 35 rads...."
 
Les article du formindep (syndicat de médecins)
 
Les femmes porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2, donc à susceptibilité de cancers du sein et de l'ovaire, qui ont été exposées aux rayonnements ionisants des diagnostics d'imagerie de la poitrine, avant l'âge de 30 ans, ont un risque accru de développer un cancer du sein, selon cette étude publiée le 6 septembre dans la revue du BMJ.com. Un nouvel argument de cette équipe de recherche internationale, dont des chercheurs de l'Inserm, pour limiter certains examens d'imagerie médicale, scanographie et radiologie interventionnelle, sources d'une augmentation de plus en plus préoccupante de l'exposition aux rayonnements ionisants.
 
C'est un rapport assez grossier ce qui démontre que la vie des femmes dont les cancers du sein sont détectés par la mammographie sont rarement, voire jamais, sauvé par la mammographie. En d'autres termes, la différence de temps entre la détection par mammographie et le dépistage clinique (comme un morceau) n'est pratiquement jamais la différence entre la vie et la mort .
 
Dire que les mammographies de dépistage réduisent la mortalité du cancer du sein de 30 % est un mensonge selon Peter Gøtzsche. Car si le dépistage sauve effectivement une vie pour chaque 2000 femmes qui subissent une mammographie de dépistage, dans le même temps, parmi ces 2000 femmes, elle en massacre aussi 10 qui subiront injustement les affres du traitement. Car explique le Pr Peter Gøtzsche chez ces 10 femmes/2000, les cellules cancéreuses détectées auraient pu disparaitrent d’elles-même ou ne jamais progresser vers un cancer. Ces femmes vont pourtant subir une excérèse et 6 d’entre elles subiront même l’ablation inutile d’un sein. Sans compter la radiothérapie, les chimiothérapies et l’ensemble des répercutions physiques et psychologiques provoquées par le diagnostic et le traitement. (ajoutons, qu'en plus ce comportement fausse les statistiques en faisant croire qu'on guérit beaucoup plus de cancers qu'en réalité. J. L. )
 
2006
 
Certains médecins aiment pratiquer les mastectomies (ablation du sein)tout simplement parce qu'ils les ont pratiquées toute leur vie professionnelle. Certains croient même que c'est le moyen le plus sûr pour éliminer tout risque de cancer ultérieur. C'est faux. Même la chirurgie la plus radicale ne retire pas tous les tissus du sein qui peuvent devenir cancéreux par la suite.La survie à long terme des femmes conservant leur sein lors d'une opération est égale à celles ayant subies une mastectomie radicale.
 
Depuis dix ans, en effet, de nombreuses études indépendantes contestent les bénéfices avancés (30 % de cancers dépistés et soignés), et en février 2012 même la Haute Autorité de la Santé (HAS) a admis la nécessité d’une remise à plat des données scientifiques. Quelle importance, direz-vous, si on sauve des vies et si cela économise l’argent de la Sécu, un dépistage coûtant moins cher qu’un traitement ? (300 000 millions d’euros en 2010 quand même, et dans 30 % des cas, un traitement en sus.)
 
"Nous avons conclu que les mammographies ont détecté des tumeurs qui ne se seraient jamais développées pour provoquer des symptômes cliniques chez 1,3 million de femmes lors des trente dernières années", concluent les auteurs de l'étude, Gilbert Welch de la faculté de médecine Dartmouth (New Hampshire, nord-est) et Archie Bleyer de l'Université des sciences d'Oregon (nord-ouest).
 
15-12-2007-Des milliers de femmes atteintes de cancer du sein pourraient échapper à la chimiothérapie ou recevoir des formes plus légères de ce traitement sans pour autant réduire leurs chances de combattre la maladie, selon de nouvelles études américaines.
La première d'entre elles souligne que certaines de ces femmes ont tiré des bénéfices, en termes de non-mortalité ou de non-rechute, lorsqu'elles recevaient un produit moins fort que l'Adriamycine, le traitement pourtant standard depuis des décennies.
Une seconde étude souligne qu'un test génétique peut aider à prédire quelle femme en tirera des bénéfices, y compris dans le cas de cancer propagé aux ganglions lymphatiques. Des cas qui, aujourd'hui, impliquent un traitement lourd.
Ces découvertes devraient permettre de ralentir le nombre croissant de femmes traitées par chimiothérapie pour ne plus cibler qu'un petit nombre d'entre elles en ayant réellement besoin, ont commenté des médecins jeudi à San Antonio, lors d'un symposium sur le cancer du sein.
"Nous abandonnons en partie la chimiothérapie que nous utiliserons de façon plus ciblée", chez certaines femmes, a déclaré le Dr Eric Winer de l'Institut de cancérologie Danafarber, à Boston.
Le test génétique, notamment, "va changer nos pratiques tout de suite", a renchéri le Dr Peter Ravdin du centre de cancérologie Anderson de l'Université du Texas, à Houston. "Les résultats montrent que ce test (...) aide à sélectionner les patientes qui tireront le plus grand bénéfice de la chimiothérapie".
 
L’industrie du ruban rose est un documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets.
L’origine du ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant.
De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes.
Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe.
L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard.
Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen.
General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests.
Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ?
On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques.
 
Une étude comparative allemande antérieure a révélé que les femmes ménopausées atteintes d’un cancer du sein et ne suivant aucun traitement vivent plus longtemps. L’étude recommandait donc à celles répondant à ce cas de figure de s’abstenir. 6 Cet avis confirme la découverte d’Ernst Krokowski, professeur de radiologie allemand qui démontra de façon concluante que la métastase était généralement provoquée par une intervention médicale, dont parfois la seule biopsie ou une chirurgie sans rapport avec le cancer.7 L’intervention sur une tumeur fait passer un nombre beaucoup plus important de cellules cancéreuses dans le sang, tandis que la plupart des procédures médicales (en particulier la chimiothérapie) détruisent le système immunitaire.
 
Le nouveau plan d’arnaque des labos pharmaceutiques organisé avec l’aide de la sécu, oblige les médecins à remplir un certain quota de dépistages du cancer afin de recevoir une prime annuelle. L’objectif est d’augmenter le nombre de traitement par chimio dont l’argent va tout droit dans les poches des Labos. Combien de nouvelles victimes des séquelles des chimio faudra-t-il dénombrer au bout de la chaîne ?
 
Ma vérité sur octobre rose 2014 et le dépistage du cancer du sein par DELÉPINE Gérard Chirurgien cancérologue
Le dépistage organisé par mammographie n’améliore pas l’espérance de vie
 
Tous les ans en octobre le monde est rose pour la cause du cancer du sein. La course ne fait pas reculer le cancer, mais avancer les affaires. Le don ne réduit pas la mortalité, mais fait vivre les marques. Le spot télévisé profite aux médias et associations, mais vous désinforme. Eteignez la télé, ôtez le ruban, cessez de courir et entrez ; ici cinq médecins indépendants ont créé ce site pour vous, pour relayer informations, controverses et outils de compréhension du cancer et des abus du dépistage.
 
La majorité des femmes ont été amenés à croire par l'industrie médicale orthodoxe, en conjonction avec le soutien massif de diverses organisations "de sensibilisation au cancer du sein", que les mammographies sont indispensables, assez inoffensif, et "sauver des vies". Par conséquent, un grand nombre de femmes ont fait le choix de faire ce test de dépistage de diagnostic régulièrement, estimant qu'ils ont fait un choix «éclairé» à ce sujet.
Mais combien de ces femmes sont au courant de leur décision n'est pas un choix éclairé, mais plutôt un choix mal informés, parce qu'elle est fondée uniquement sur un ensemble très sélectif, unilatérale des données en faveur de la mammographie qui leur est présentée par la profession médicale traditionnelle , diverses organisations "de sensibilisation au cancer du sein», et les médias populaires?
 
La réponse est très simple:
- des milliards ont été investis dans la mammographie. Il faut les amortir.
- pratiquer l’échographie ductale à grande échelle est pour le moment impossible car les hôpitaux n’ont ni les appareils adaptés, ni les sondes et surtout, les radiologues ne sont pas encore formés à cette technique
 
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le dépistage du cancer du sein
publié par le Nordic Cocrane Centre 2012
 
"Trop dépister les cancers nuit-il à la santé ? L'exemple des cancers du sein". Conférence-débat du Prix Prescrire 2012
 
La femme d épistée n’a pas vécu plus longtemps que la femme non dépistée, mais a vécu 3 ans de plus en sachant qu’elle avait un cancer du sein par rapport à la femme non dépistée, sa phase de « maladievécue » a été plus longue
 
reportage france 5 et commentaires formindep
 
ces molécules, réputées jusqu'à très récemment, par plusieurs médecins scientifiques, diminuer le cancer du sein, en doublent le risque dès que l'usage de ces médicaments est régulier sur du long terme. Il faut rappeler que ces médicaments, qui augmentent nettement le risque de devenir DT2 avec des glycémies compliquées à gérer, et le risque de développer un cancer du sein, sont en général donnés à vie, par des médecins qui n'ont malheureusement pas pris le temps de lire l'ensemble des données scientifiques disponibles à ce sujet.
 
nous ne pouvons que reprendre celle que Peter Gotzsche a exposé au cours de la conférence-débat organisée par la Revue Prescrire le 4 octobre 2012, en attirant l’attention des auditeurs ”sur les similitudes entre le dépistage du cancer de la prostate et celui du cancer du sein. Ces deux dépistages possèdent un faible effet sur la mortalité spécifique par cancer, si ce n’est aucun, et il existe un surdiagnostic considérable nuisant à de nombreuses femmes et à de nombreux hommes bien portants. Pour ces deux raisons, nous ne réalisons pas de dépistage du cancer de la prostate. Pouvez-vous me dire pourquoi tant de personnes défendent le dépistage du cancer du sein ? ”.
 
Les résultats de la thermographie seraient plutôt meilleurs que ceux de la mammographie. Elle détecterait
 
D’autre part,l’étude a conclu que 1,3 millions de cas de détection précoce étaient erronés et ont transformé des femmes saines en patientes de cancer du sein.Les chercheurs britanniques ont confirmé que le risque de cancer du sein augmente de 400% à 600%en  faisant une mammographie.
Les Mammographies Causent le Cancer du Sein.Point Final.
Il vaut mieux utiliser la thermographie pour la détection précoce du cancer dusein,car la thermographie n’est pas cancérigène.Les thermographies sont beaucoup plus performantes et permettent de détecter un cancer du sein 10 ans avant que la boule de la tumeur se forme
 
Les scientifiques ont constaté que, tout en réduisant les tumeurs, la chimiothérapie ouvre une porte d'entrée pour que les cellules du cancer du sein se répandent dans le sang et d'autres parties du corps.
un nouvel article intitulé «Le traitement par rayonnement génère des cellules souches cancéreuses résistantes aux traitements contre les cellules du cancer du sein agressives», publié dans la revue Cancer Le 1er juillet 2012, des chercheurs du département de radio-oncologie du Jonsson Comprehensive Cancer Center de l'UCLA rapportent que le traitement par radiation conduit réellement les cellules cancéreuses du sein vers une plus grande malignité.
 
plus de 50 pour cent des le taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X.
Dr John Gofman, MD, Ph.D. - Un physicien nucléaire et un médecin, et l'un des plus grands experts dans le monde sur les dangers des rayonnements - présente des preuves irréfutables dans son livre,
 
Dans son livre de 1990 "Cancer induit par irradiation à faible dose d'exposition:", le Dr Gofman,dans une analyse indépendante fournit la preuve humaine et physique que la cancérogenèse des rayonnements ionisants se produit aux doses et aux débits les plus bas imaginables. Cette découverte réfute les affirmations de certaines parties de la communauté des radiations selon lesquelles de très faibles doses ou doses peuvent être sans danger. En 1996, le Dr Gofman a exposé dans : "le dépistage du cancer du sein : l'histoire d'une cause majeure, prouvée et évitable de cette maladie" a révélé que ... "environ les trois quarts de l'incidence annuelle actuelle du cancer du sein aux USA , est principalement de sources médicales"
... En raison de la preuve évidente ci-dessus des dangers des rayonnements ionisants actuellement utilisés dans divers traitements médicaux, les médecins avisés comme le Dr Russell Blaylock (neurochirurgien), le Dr Margaret Cuomo (radiologue certifié), le Dr Francisco Contreras (oncologue), le Dr Keith Block (oncologue) et bien d'autres ont de sérieuses réserves quant à l'utilisation et à l'efficacité de la radiothérapie

TRAITEMENTS

deux médicaments de chimiothérapie couramment utilisés pour le traitement des cancers peuvent favoriser le développement des tumeurs cancéreuses
 
Pour les décès dans les 1 à 5 ans après diagnostic, le cancer du sein lui-même est le plus fréquemment responsable.
Chez les femmes décédées 5 à 10 ans après le diagnostic de cancer du sein, le cancer du sein était la cause de décès dans 38,2%, suivi par les autres cancers dans 13,4% , et les causes non cancéreuses dans 48,4%. Les maladies cardiaques étaient la cause de décès non cancéreuse la plus courante (15,7%), suivies des maladies cérébro-vasculaires (AVC) et de la BPCO (3,9%) ainsi que de la maladie d'Alzheimer (3,4%).
Dans un suivi plus éloigné encore, la cause cardio-vasculaire l'emporte.
"Les taux élevés de décès par maladie cardiaque sont probablement liés à la toxicité de la chimiothérapie (notamment les anthracyclines) et de la radiothérapie (sein gauche notamment)."
 
Cette étude révèle que la leucémie myéloïde aiguë, le syndrome myélodysplasique et la leucémie lymphoblastique aiguë sont plus fréquentes chez les femmes traitées et non décédées du cancer du sein que chez les femmes de la population générale ; ceci est préoccupant et selon les auteurs une surveillance continue des hémopathies malignes ainsi que des recherches plus poussées sur les mécanismes sous-jacents de ces maladies sont nécessaires.
 
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
 
Cette autorisation hasardeuse de mise sur le marché d’un médicament inutile et dangereux illustre la dérive des agences du médicament
 
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de mortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).
 
Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.
 
L'institut Curie, machin qui ne vit que des essais cliniques et de l'argent public, écrit des articles dithyrambiques en son site, sur l'immunothérapie dans le cancer du sein (voir LA), tandis que les émissions télévisées grand public font de même Allodocteurs), et alors que l'on vante le 3 juin 2016 (ICI) les mérites d'une autre molécule (erlotinib ou Tarceva) prônée dans des indications similaires et qu'on apprend le 6 juin (mais pas par les mêmes canaux) que les laboratoires qui le promeuvent sont condamnés par la justice américaine à 67 millions de dollars d'amende pour avoir menti sur les durées de survie et pour avoir tant vanté ses effets que des praticiens, des (c)oncologues, l'ont prescrit en première intention et non en deuxième intention comme l'AMM le préconisait (voir LA). Pour les grincheux, pour ceux qui pensent que La Revue Prescrire est un nid de gauchistes, d'ayatollahs, d'anti capitalistes, je ne peux m'empêcher de citer la revue qui écrivait en 2007 (!) combien cette molécule était surévaluée et combien les experts étaients sous influence : LA.
 
Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins) : Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.
 
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie
 
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves
 
Le livre noir du médicament (extrait non disponible sur internet)  :
“Que ce soit l’avastin ou d’autres “mab”, le prix d’une chimiothérapie peut atteindre 100 000 dollars, pour une échelle de prix comparable en Europe. Quant à leur efficacité, elle est à peine meilleure que les anciens traitements. Le gain de vie moyen de ces nouveaux miracles de la biotechnologie est de quelques mois, voire quelques jours.
 
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus. Quant au Panorama du médecin du 4 mars 1996, il signale que le tamoxifène favoriserait le cancer du sein, c’est-à-dire le type de tumeur dans lequel on le conseille à la fois en traitement et en prévention. Il est non seulement encore sur le marché, mais remboursé à 100 %.
Quant au tamoxifène®, toujours prescrit dans les infections dues aux germes sensibles, d’après le Sunday Times du 27 février 1994, il serait responsable de plusieurs centaines de morts, mais en France l’information a été ignorée par la plupart des médecins qui continuent à recommander le produit seize ans plus tard.
 
Environ un millier d’études publiées traitent le tamoxifène et le cancer de l’endomètre. Une analyse de plusieurs études à grande échelle montre que le tamoxifène double le risque d’une femme pour le cancer de l’utérus en cas d’utilisation d’un à deux ans, et il quadruple dans les cinq ans. La plupart des gens ne savent pas que le tamoxifène était initialement considéré comme une pilule contraceptive, car il interfère avec la capacité de l’utérus à maintenir une grossesse !
En avril 1996, l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré le tamoxifène comme étant un cancérigène connu, mais AstraZeneca continue à commercialiser ce médicament toxique. Le 16 Mai 2000, le New York Times a rapporté que l’Institut national des sciences de la santé environnementale des substances l’a énuméré comme cancérogènes connu. Le tamoxifène a donc été inclus dans cette liste ! Prendre une substance cancérigène pour arrêter la propagation du cancer, c’est comme jouer « à la roulette russe » avec un pistolet en pleine charge ! La revue Science a publié une étude de la Duke University Medical Center en 1999 montrant qu’au bout de deux à cinq ans, le tamoxifène a initié la croissance du cancer du sein !
Dans un article publié en 1994, Betty Martini a écrit «Le tamoxifène a été testé et re-testé depuis plus de 15 ans. Les testeurs ont admis la fraude, de nombreuses contre-indications ont été tout simplement ignorées, des résultats d’essai ont été limités dans le temps et les séquelles non comptabilisées, bien que les femmes tombèrent malades et certaines d’entre-elles en sont mortes. Les essais ne prouvent pas la que la substance fonctionne, donc ils en font plus encore, avec votre argent. Ils vont poursuivre les tests jusqu’à ce qu’ils puissent trouver un moyen de truquer les résultats en faveur des femmes en bonne santé, afin qu’elles achètent du poison pour une maladie qu’elles n’ont pas, mais le médicament le leur donnera ! « 
 
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.
 
Le docétaxel, une molécule extrêmement répandue pour traiter les cancers du sein, est dans le viseur des autorités sanitaires. Après avoir reçu leur traitement, plusieurs femmes ont été victimes d'entérocolite, une inflammation simultanée des muqueuses de l'intestin grêle et du côlon. Parmi elles, cinq sont décédées
 
Tout cela pour peut-être trois mois de stabilisation tumorale et cinq mois de plus de survie globale tout en insistant sur la meilleure tolérance. Progrès qui restent à confirmer cinq ans après cette publication triomphale. Nous ne sommes plus dans l’information, mais dans la propagande
 
 
effets secondaires taxol
 
Or docétaxel, taxol ou taxotère, tous ces produits sont issus de la même molécule, le paclitaxel, un poison puissant que l’on trouve dans la nature au sein de champignons et certaines sortes d’ifs, et qui empêche la mitose (multiplication) des cellules. Aujourd’hui, un certain nombre de personnes faisant appel à l’association suivent des protocoles de chimiothérapies utilisant ces produits. Que répondre à leur questionnement sur la toxicité de ces chimios ?
Qu’effectivement, le paclitaxel, comme toutes les molécules utilisées pour les chimios, est avant tout un poison et que, de ce fait même, il agit comme tel, tuant les cellules cancéreuses mais attaquant également indifféremment les cellules saines et une partie de l’organisme. Résultat : des effets secondaires très lourds tels que la diminution des globules blancs, des plaquettes et des globules rouges, la perte de cheveux et l’inflammation des muqueuses, en particulier de la bouche. Egalement une atteinte des nerfs périphériques, parfois sévère, un risque de rétention hydrique (ascite, épanchements pleuraux ou péricardiques), des réactions cutanées, des réactions d’hypersensibilité à l’injection…
En outre, si la chimiothérapie, dans le meilleur des cas, va tuer une grande partie des cellules cancéreuses, elle ne guérira pas le malade du cancer : celui-ci étant la conséquence d’une inflammation (à ce propos, relire : http://www.cancer-et-metabolisme.fr/cancer-et-metabolisme/), le cancer restera en latence tant que l’inflammation ne sera pas traitée…
 
Taxol / la chimiothérapie paciltaxel, traitement vendu par Bristol-Myers Squibb sous le nom de taxol est inefficace dans la traitement HER-2 négatif du cancer du sein, la forme la plus courant de la maladie, selon une étude publiée jeurdi dans le New England Journal of Médecine

Paclitaxel / taxol (traitement du cancer) provoquent des cancers

CHIRURGIE DU CANCER DU SEIN
 
Finalement, tous les types et toutes les combinaisons de traitements conventionnels contre le cancer du sein semblent présenter les mêmes faibles taux de survie à long terme. Pire encore, Michael Baum, grand chirurgien britannique spécialiste du cancer du sein, a découvert que dans le cas d’atteinte de cet organe, la chirurgie avait tendance à augmenter le risque de rechute ou de décès dans un délai de trois ans. Il a également établi que la chirurgie accélérait le développement de la maladie en stimulant la formation de métastases dans d’autres parties de l’organisme.5
"Ce sont les métastases qui tuent, alors que les tumeurs primitives en général, et celles du sein en particulier, peuvent s’avérer relativement inoffensives. Ces découvertes sont confirmées par de récentes recherches qui montrent que la chirurgie, même si elle n’avait rien à voir avec le cancer, pouvait déclencher une propagation explosive de métastases et entraîner une mort prématurée."
 
"Il y a environ 50 000 personnes qui meurent du cancer aux États-Unis chaque année. D'après ma propre expérience dans le traitement du cancer sous toutes ses formes, pendant quarante ans, je suis convaincu que quatre-vingt-quinze pour cent de ces cas auraient pu être sauvés sans opération. Sur les pierres tombales de la plupart d'entre eux, on pourrait écrire : " Massacrer au nom de la science ".

Les traitements hormonaux contre le cancer du sein

Il existe plusieurs types de médicaments de ce type :

  • les anti-estrogènes (tamoxifène, torémifène et fulvestrant) qui bloquent l’action de ces hormones ; leurs effets indésirables sont des bouffées de chaleur, la cataracte et des accidents de type thromboembolique (la formation d’un caillot dans les veines pouvant migrer dans d’autres organes).
  • les inhibiteurs de l’aromatase (anastrazole, exémestane, létrozole) qui bloquent la production d’estrogènes par les organes qui les sécrètent. Ces médicaments sont prescrits après la ménopause. Ils exigent une surveillance régulière pour dépister la survenue d’une ostéoporose. Leurs autres effets indésirables sont les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale et les douleurs du vagin et des articulations.
  • les progestatifs (acétate de médroxyprogestérone et acétate de mégestrol) dont les effets indésirables sont la prise de poids, l’hypertension artérielle, le diabète et les troubles vasculaires.
  • les agonistes de la GnRH (goséréline et leuproréline) qui bloquent la production d’hormones sexuelles par les ovaires. Leurs effets indésirables sont les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale, la baisse du désir sexuel et le risque de développer de l’ostéoporose.

On peut proposer les associations suivantes. La plupart de ces agents chimiothérapeutiques sont administrés à l’aide d’une aiguille insérée dans une veine (voie intraveineuse) :

  • AC-T – doxorubicine (Adriamycin) et cyclophosphamide (Procytox) suivies de paclitaxel (Taxol)
  • T-AC – paclitaxel ou docétaxel (Taxotere) suivis de doxorubicine et de cyclophosphamide
  • TC – paclitaxel et cyclophosphamide
  • doxorubicine et cyclophosphamide suivies de docétaxel
  • CAF (ou FAC) – cyclophosphamide (sous forme de pilule), doxorubicine et 5-fluorouracil (Adrucil, 5-FU)
  • FAC suivi de docétaxel ou de paclitaxel
  • CEF (ou FEC) – cyclophosphamide (sous forme de pilule), épirubicine (Pharmorubicin) et 5-fluorouracil
  • CEF suivi de docétaxel ou de paclitaxel
  • EC – épirubicine et cyclophosphamide
  • carboplatine (Paraplatin, Paraplatin AQ) et docétaxel
  • docétaxel et cyclophosphamide
  • capécitabine (Xeloda) adjuvante après une association chimiothérapeutique néoadjuvante

Dites NON a Herceptin / Trastuzumab

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SURDIAGNOSTICS ET CONSEQUENCES CATASTROPHIQUES

"faux positif, qui, selon un article publié dans "the Lancet", concerne plus de 93% de l'ensemble des résultats de mammographies."  extrait de "Toute la vérité sur le cancer" de ty Bollinger page 160
 
formindep
 
"D'ailleurs, l'examen de femmes"saines" agées de plus de cinquante ans ne révèle en moyenne que deux ou trois cas pour mille femmes examinées.Ni les frottis, ni les mammographies ne peuvent donc être considérés comme de bons tests. En effet sur cent tests "positifs", 90 à 99% d'entre eux sont des "faux positifs"
 
On peut donc estimer le nombre moyen de surdiagnostics à une centaine par jour en 2008, sans compter les cancers « in situ ».
 
revue prescrire : L'autopalpation des seins est déconseillée car elle augmente sans bénéfice le nombre d'investigations invasives.
environ 60 % des anomalies dépistées en France sont en fait des "faux positifs"
 
Les Mammographies de dépistage, car elles ne prolongent pas la vie, alors qu’elles rendent beaucoup de femmes en bonne santé, malades par l’intermédiaire de surdiagnostic et conduit à la mort prématurée pour certains parce que la radiothérapie et la chimiothérapie augmente la mortalité lorsqu’ils sont utilisés pour d’inoffensifs cancers détectés lors du dépistage.
 
Le nombre estimé de surdiagnostics en France est de 36 000 cas par an, pour le seul cancer du sein. Cent femmes par jour sont ainsi diagnostiquées et traitées inutilement.
...Guérir des faux cancers – grâce aux surdiagnostics – donne l’illusion que la médecine progresse, mais la réalité est tout autre. En France, selon les statistiques de mortalité, le risque de décéder d’un cancer du sein fut pratiquement identique en 1980 et en 2005. On peut donc douter que la précocité des traitements chirurgicaux, par radiothérapie et par chimiothérapie, ait amélioré les chances de guérison
 
Comment les conflits d’intérêts mènent-ils à traiter inutilement des surdiagnostics, à savoir des « cancers » qui n’auraient pas eu de conséquence sur la vie des patients s’ils n’avaient pas été découverts ?
 
« [...] une réduction du nombre de faux diagnostics entre directement en conflit avec des intérêts financiers considérables ». En effet, « En France, les dépenses pour le traitement médicamenteux des vrais et des pseudo-cancers ont passé de 473 millions en 2004 à 847 millions en 2007. ».
 
Selon nos estimations, le niveau de surdiagnostic dans les pays avec les programmes organisés de dépistage est d'environ 50%
 
Le surdiagnostic des cancers du sein mène à des traitements inutiles dans un cas sur trois : Selon des scientifiques, le dépistage du cancer du sein entraîne un surdiagnostic suite auquel beaucoup de femmes auront des interventions chirurgicales et des chimiothérapies inutiles
 
La question n’est plus de savoir si, mais combien de fois, il se produit
 
Les relations de la nutrition et des vitamines avec la genèse et la prévention du cancer sont de plus en plus évidentes. Dans un protocole clinique, 32 patientes ayant un cancer du sein «à haut risque» ont été traitées avec des antioxydants, des acides gras et 90 mg de CoQ10. Six des 32 patients ont présenté une régression partielle de la tumeur. Dans l'un de ces 6 cas, la posologie de CoQ10 a été augmentée à 390 mg. En un mois, la tumeur n'était plus palpable et en un mois, la mammographie confirmait l'absence de tumeur. Encouragés, un autre cas ayant une tumeur du sein vérifiée, après une chirurgie non radicale et une tumeur résiduelle vérifiée dans le lit de la tumeur, a ensuite été traité avec 300 mg de CoQ10. Après 3 mois, la patiente était en excellente condition clinique et il n'y avait pas de tissu tumoral résiduel. L'activité bioénergétique de la CoQ10, exprimée en activité hématologique ou immunologique, peut constituer le mécanisme moléculaire dominant, mais non le seul, à l'origine de la régression du cancer du sein."

"Le dépistage du cancer du sein n'est pas pertinent"

Cancer du sein : le dépistage généralisé est-il un échec ?

"Les femmes diagnostiquées avec le carcinome canalaire in situ (DCIS) sont confus quant à savoir si oui ou non DCIS est un cancer ou non. Les MD ne sont pas différents ! Environ 2% des cancers DCIS sont mortels et les autres 98% mourront avec elle et non pas de lui. Vingt à vingt-cinq pour cent de tous les cancers du sein sont DCIS. Le traitement principal pour cette condition inclut la chirurgie, la radiothérapie, et la chimiothérapie. Les femmes et de nombreux médecins remettent en question cette approche, mais c'est une bonne nouvelle pour les compagnies pharmaceutiques, les chirurgiens, les radiologistes et les oncologues, car le traitement du DCIS est une entreprise extrêmement rentable."

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Le dépistage systématique du cancer, une escroquerie

L'arnaque Octobre Rose dénoncée par un cancérologue

Le scandale Octobre Rose démontré par une radiologue

Octobre Rose : la tromperie organisée !

Surdiagnostics du cancer du sein

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Peter Gotzsche : Mammographie non merci

Octobre rose : la grande arnaque

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L’industrie du ruban rose est un documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets.
L’origine du ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant.
De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes.
Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe.
L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard.
Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen.
General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests.
Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ?
On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques
 
On meurt autant du cancer du sein, aujourd'hui qu'en 1960, alors que l'augmentation des guérisons n'est due qu'aux surdiagnostics

vers la 22 ème minute

LES MAMMOGRAPHIE PROVOQUENT LE CANCER

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Cancer du sein : "Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteinte de cancer du sein est d'éviter le dépistage." prof peter Gotzsche

TEMOIGNAGES SORTIR DU CANCER NATURELLEMENT

 

Artemisia Annua ou Qing Hao et cancer du sein (sauvegarde)

Un lien a visiter

Cancer du sein : un cocktail prometteur de 6 plantes guérisseuses
2013 : "Les six molécules ont donc été testées une par une sur des cellules cancéreuses, tandis qu'un autre test comparait leurs effets lorsqu'elles étaient regroupées en synergie dans un super-cocktail. Individuellement, les substances s'avèrent peu efficaces, mais, combinées, elles ont réussi à stopper la croissance des cellules cancéreuses à plus de 80 % après le 6e jour et à limiter leur migration. Enfin, un processus de mort cellulaire s'est installé, conduisant au final à la disparition de 100 % des cellules cancéreuses sans effet nocif pour les cellules saines. L'équipe de scientifiques a également noté que les métastases pouvaient être diminuées."

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Electro-thérapie

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