"faux positif, qui, selon un article publié dans "the Lancet", concerne plus de 93% de l'ensemble des résultats de mammographies." extrait de "Toute la vérité sur le cancer" de ty Bollinger page 160
"Un thermogramme, en revanche, n’a pas plus de 9% de chances de donner un faux positif ou un faux négatif"
anti campagne rose
un site de médecins
"les mammographies peuvent accentuer le risque de développer un cancer autant que de 3 % par an en irradiant les cellules mammaires et en déclenchant le cancer.""
Dépliant explicatif en français
"Le dépistage ne réduit pas le risque global de déc s ni le risque global de décès par cancer (y compris le cancer du sein) (5). Il semble donc que les femmes qui vont se faire dépister ne vivent pas plus longtemps que les femmes qui ne vont pas se faire dépister."
Les effets néfastes de l'augmentation des biopsies et du surdiagnostic de cancers du sein qui n'auraient jamais produit de symptômes au cours de la vie d'une personne ou ne seraient jamais devenus cliniquement pertinents ont été mis en balance avec le léger avantage d'un dépistage répété. Un surdiagnostic peut augmenter l'impact du cancer sur la qualité de vie et la longévité, car il conduit à un traitement excessif, exposant les patients à des dommages potentiels sans offrir aucun avantage.
Refuser les traitements conventionnels contre le cancer et ne rien faire a permis aux patients cancéreux de vivre plus de quatre fois plus longtemps que leurs homologues plus conformes. C'est quelque chose dont vous n'entendrez jamais parler dans les médias grand public, qui continuent de colporter le mythe selon lequel les patients atteints de cancer ont d'une manière ou d'une autre besoin d' un poison injecté dans leur corps pour survivre et atteindre le statut de "guérison".
Journal of the Royal Society of Medicine, septembre 2015
plus de cent hommes et cent femmes seraient chaque jour diagnostiqués puis traités inutilement. Ainsi, en quinze ans, la France aurait «soigné» un million de personnes pour un cancer de la prostate ou du sein qui n’en était pas un.
Selon des études récentes, un traitement précoce pourrait même accélérer le développement de métastases dans les organes vitaux ! Contrairement à ce que soutient la propagande médicale, le diagnostic rapide et la prise en charge hâtive n’améliorent d’ailleurs nullement le taux de survie général
Les trois effets adverses au dépistage sont le surdiagnostic, les fausses alertes et l'exposition aux radiations. Ces trois effets indésirables, quand on les met bout-à-bout, dépassent largement le potentiel bénéfice très hypothétique qu'on peut en retirer.
Les mammographies causent le cancer
Comme l’explique la Dr Véronique DESAULNIERS(Canada),en ce qui concerne le cancer du sein, il n’y a ni facteur génétique ni hérédité.
Angelina JOLIE a été trompée et mal informée.
De plus,les mêmes gènes peuvent être aussi bien activés que désactivés par des substances naturelles phytochimiques.Contrairement à ce que pensent la plupart des gens qui est qu’on est une victime d’un cancer,nous avons beaucoup de contrôle sur le cancer.
Dans son livre «Prévenir le cancer du sein», le Professeur J.W. Goffman, montre que l’exposition aux radiations ionisantes, principalement aux rayons X, est responsable d’environ 75 % des cancers du sein aux États-Unis. Une mammographie tout les 10 ans augmenterait de 9% le risque de cancer.
"Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteint de cancer du sein est d'éviter assister dépistage." Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.
Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements. Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les «dictateurs du scalpel et du radium» ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait: «Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.» D’autres médecins partagent ce point de vue.
Se basant sur des études menées entre 1963 et 1991, le groupe de médecins et de scientifiques suisses relève plus d'inconvénients que d'avantages à ces mammographies
Le blog de l'auteur du livre
« Sur 2 000 femmes participant au dépistage pendant dix ans, la vie d’une seule femme est prolongée grâce au dépistage et au traitement précoce, explique le Dr Gøtzsche, mais dix seront diagnostiquées et traitées à tort
"Certains cancers du sein n'ont pas de conséquence clinique, la patiente décédant avant toute manifestation de son cancer du sein. Le dépistage de ces cancers aboutit à un diagnostic par excès. Les diagnostics par excès des mammographies de dépistage concernent vraisemblablement 30 % à 50 % des diagnostics de cancer du sein"
Mais l’intérêt primordial de cette étude est, à mon humble avis, que les auteurs étaient partis avec l’hypothèse de démontrer que les statines diminuent le risque de cancer du sein ; et ils ont trouvé le contraire ! Obligés d’admettre mais un peu perdus !
Ce dépistage systématique n’apporte pas d’amélioration en termes de mortalité, sur-diagnostics, souffrance et mutilations supplémentaires : la balance bénéfice/ risque n’est pas favorable. Voilà pourquoi, à la lumière des données actuelles de la science, j’ai décidé à titre personnel de ne pas suivre vos conseils et de ne pas subir de mammographie de dépistage. En tant que médecin et en vertu de la
Loi 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux
droits des malades, j’apporterai à mes patientes toutes les informations qui leur seront nécessaires pour qu’elles puissent décider, pour elles mêmes, en toute connaissance de cause.
Lors d'autopsies de personnes décédées pour d'autres raisons, on constate souvent des cancers qui n'ont donné aucun symptôme clinique du vivant de ces personnes.
sur les 260.000 décès par cancer enregistré en Allemagne, entre 10.000 et 20.000 sont à mettre sur le compte des rayonnements
La chimiothérapie peut causer le cancer
Pour la chimiothéraie et la radiothérapie, les études seraient biaisées. On peut pas laisser les malades sans espoir et ces méthodes sont très lucratives pour les hôpitaux qui sont des véritables entreprises ou seul le chiffre d'affaire est important.
Même si ce dépistage ne se traduit par aucun bénéfice en termes de survie (âge de décès toujours à 68 ans), on a mécaniquement augmenté la durée de survie des malades, puisqu’on est passé de 8 ans (68 ans – 60 ans) à 11 ans (68 ans – 57 ans). Un coup dans l’eau ? Pas tout à fait : de 57 à 60 ans, on aura quand même perdu 3 ans de vie normale et il suffit de renvoyer chacun(e) à son expérience de la chose pour comparer trois ans de chirurgie/radiothérapie/chimiothérapie à trois ans de douce inconscience – pour un bénéfice strictement nul en termes d’espérance de vie.
Cancer du sein
Les dangers et le manque de fiabilité du dépistage sont aggravés par ses coûts grandissants et inflationnistes.
le Dr Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leucémie était en radiation médicale dans la forme de diagnostic médical de rayons X
"Si une femme a une mammographie annuelle dès l'age de 55 à 75 ans, elle recevra un minimum de 20 rads de rayons.A titre de comparaison, les femmes qui ont survécu aux attentats à la bombe atomique à Hiroshima ou Nagasaki ont absorbées 35 rads...."
Les article du formindep (syndicat de médecins)
Les femmes porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2, donc à susceptibilité de cancers du sein et de l'ovaire, qui ont été exposées aux rayonnements ionisants des diagnostics d'imagerie de la poitrine, avant l'âge de 30 ans, ont un risque accru de développer un cancer du sein, selon cette étude publiée le 6 septembre dans la revue du BMJ.com. Un nouvel argument de cette équipe de recherche internationale, dont des chercheurs de l'Inserm, pour limiter certains examens d'imagerie médicale, scanographie et radiologie interventionnelle, sources d'une augmentation de plus en plus préoccupante de l'exposition aux rayonnements ionisants.
C'est un rapport assez grossier ce qui démontre que la vie des femmes dont les cancers du sein sont détectés par la mammographie sont rarement, voire jamais, sauvé par la mammographie. En d'autres termes, la différence de temps entre la détection par mammographie et le dépistage clinique (comme un morceau) n'est pratiquement jamais la différence entre la vie et la mort .
Dire que les mammographies de dépistage réduisent la mortalité du cancer du sein de 30 % est un mensonge selon Peter Gøtzsche. Car si le dépistage sauve effectivement une vie pour chaque 2000 femmes qui subissent une mammographie de dépistage, dans le même temps, parmi ces 2000 femmes, elle en massacre aussi 10 qui subiront injustement les affres du traitement. Car explique le Pr Peter Gøtzsche chez ces 10 femmes/2000, les cellules cancéreuses détectées auraient pu disparaitrent d’elles-même ou ne jamais progresser vers un cancer. Ces femmes vont pourtant subir une excérèse et 6 d’entre elles subiront même l’ablation inutile d’un sein. Sans compter la radiothérapie, les chimiothérapies et l’ensemble des répercutions physiques et psychologiques provoquées par le diagnostic et le traitement. (ajoutons, qu'en plus ce comportement fausse les statistiques en faisant croire qu'on guérit beaucoup plus de cancers qu'en réalité. J. L. )
2006
Certains médecins aiment pratiquer les mastectomies (ablation du sein)tout simplement parce qu'ils les ont pratiquées toute leur vie professionnelle. Certains croient même que c'est le moyen le plus sûr pour éliminer tout risque de cancer ultérieur. C'est faux. Même la chirurgie la plus radicale ne retire pas tous les tissus du sein qui peuvent devenir cancéreux par la suite.La survie à long terme des femmes conservant leur sein lors d'une opération est égale à celles ayant subies une mastectomie radicale.
Depuis dix ans, en effet, de nombreuses études indépendantes contestent les bénéfices avancés (30 % de cancers dépistés et soignés), et en février 2012 même la Haute Autorité de la Santé (HAS) a admis la nécessité d’une remise à plat des données scientifiques. Quelle importance, direz-vous, si on sauve des vies et si cela économise l’argent de la Sécu, un dépistage coûtant moins cher qu’un traitement ? (300 000 millions d’euros en 2010 quand même, et dans 30 % des cas, un traitement en sus.)
"Nous avons conclu que les mammographies ont détecté des tumeurs qui ne se seraient jamais développées pour provoquer des symptômes cliniques chez 1,3 million de femmes lors des trente dernières années", concluent les auteurs de l'étude, Gilbert Welch de la faculté de médecine Dartmouth (New Hampshire, nord-est) et Archie Bleyer de l'Université des sciences d'Oregon (nord-ouest).
15-12-2007-Des milliers de femmes atteintes de cancer du sein pourraient échapper à la chimiothérapie ou recevoir des formes plus légères de ce traitement sans pour autant réduire leurs chances de combattre la maladie, selon de nouvelles études américaines.
La première d'entre elles souligne que certaines de ces femmes ont tiré des bénéfices, en termes de non-mortalité ou de non-rechute, lorsqu'elles recevaient un produit moins fort que l'Adriamycine, le traitement pourtant standard depuis des décennies.
Une seconde étude souligne qu'un test génétique peut aider à prédire quelle femme en tirera des bénéfices, y compris dans le cas de cancer propagé aux ganglions lymphatiques. Des cas qui, aujourd'hui, impliquent un traitement lourd.
Ces découvertes devraient permettre de ralentir le nombre croissant de femmes traitées par chimiothérapie pour ne plus cibler qu'un petit nombre d'entre elles en ayant réellement besoin, ont commenté des médecins jeudi à San Antonio, lors d'un symposium sur le cancer du sein.
"Nous abandonnons en partie la chimiothérapie que nous utiliserons de façon plus ciblée", chez certaines femmes, a déclaré le Dr Eric Winer de l'Institut de cancérologie Danafarber, à Boston.
Le test génétique, notamment, "va changer nos pratiques tout de suite", a renchéri le Dr Peter Ravdin du centre de cancérologie Anderson de l'Université du Texas, à Houston. "Les résultats montrent que ce test (...) aide à sélectionner les patientes qui tireront le plus grand bénéfice de la chimiothérapie".
L’industrie du ruban rose est un
documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation
Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets.
L’origine du
ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du
National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par
Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant.
De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes.
Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe.
L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une
organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard.
Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen.
General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests.
Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ?
On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques.
Une étude comparative allemande antérieure a révélé que les femmes ménopausées atteintes d’un cancer du sein et ne suivant aucun traitement vivent plus longtemps. L’étude recommandait donc à celles répondant à ce cas de figure de s’abstenir. 6 Cet avis confirme la découverte d’Ernst Krokowski, professeur de radiologie allemand qui démontra de façon concluante que la métastase était généralement provoquée par une intervention médicale, dont parfois la seule biopsie ou une chirurgie sans rapport avec le cancer.7 L’intervention sur une tumeur fait passer un nombre beaucoup plus important de cellules cancéreuses dans le sang, tandis que la plupart des procédures médicales (en particulier la chimiothérapie) détruisent le système immunitaire.
Le nouveau plan d’arnaque des labos pharmaceutiques organisé avec l’aide de la sécu, oblige les médecins à remplir un certain quota de dépistages du cancer afin de recevoir une prime annuelle. L’objectif est d’augmenter le nombre de traitement par
chimio dont l’argent va tout droit dans les poches des Labos. Combien de nouvelles victimes des séquelles des chimio faudra-t-il dénombrer au bout de la chaîne ?
Le dépistage organisé par mammographie n’améliore pas l’espérance de vie
Tous les ans en octobre le monde est rose pour la cause du cancer du sein. La course ne fait pas reculer le cancer, mais avancer les affaires. Le don ne réduit pas la mortalité, mais fait vivre les marques. Le spot télévisé profite aux médias et associations, mais vous désinforme. Eteignez la télé, ôtez le ruban, cessez de courir et entrez ; ici cinq médecins indépendants ont créé ce site pour vous, pour relayer informations, controverses et outils de compréhension du cancer et des abus du dépistage.
La majorité des femmes ont été amenés à croire par l'industrie médicale orthodoxe, en conjonction avec le soutien massif de diverses organisations "de sensibilisation au cancer du sein", que les mammographies sont indispensables, assez inoffensif, et "sauver des vies". Par conséquent, un grand nombre de femmes ont fait le choix de faire ce test de dépistage de diagnostic régulièrement, estimant qu'ils ont fait un choix «éclairé» à ce sujet.
Mais combien de ces femmes sont au courant de leur décision n'est pas un choix éclairé, mais plutôt un choix mal informés, parce qu'elle est fondée uniquement sur un ensemble très sélectif, unilatérale des données en faveur de la mammographie qui leur est présentée par la profession médicale traditionnelle , diverses organisations "de sensibilisation au cancer du sein», et les médias populaires?
La réponse est très simple:
- des milliards ont été investis dans la mammographie. Il faut les amortir.
- pratiquer l’échographie ductale à grande échelle est pour le moment impossible car les hôpitaux n’ont ni les appareils adaptés, ni les sondes et surtout, les radiologues ne sont pas encore formés à cette technique
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le dépistage du cancer du sein
publié par le Nordic Cocrane Centre 2012
"Trop dépister les cancers nuit-il à la santé ? L'exemple des cancers du sein". Conférence-débat du Prix Prescrire 2012
La femme d épistée n’a pas vécu plus longtemps que la femme non dépistée, mais a vécu 3 ans de plus en sachant qu’elle avait un cancer du sein par rapport à la femme non dépistée, sa phase de « maladievécue » a été plus longue
reportage france 5 et commentaires formindep
ces molécules, réputées jusqu'à très récemment, par plusieurs médecins scientifiques, diminuer le cancer du sein, en doublent le risque dès que l'usage de ces médicaments est régulier sur du long terme. Il faut rappeler que ces médicaments, qui augmentent nettement le risque de devenir DT2 avec des glycémies compliquées à gérer, et le risque de développer un cancer du sein, sont en général donnés à vie, par des médecins qui n'ont malheureusement pas pris le temps de lire l'ensemble des données scientifiques disponibles à ce sujet.
nous ne pouvons que reprendre celle que Peter Gotzsche a exposé au cours de la conférence-débat organisée par la Revue Prescrire le 4 octobre 2012, en attirant l’attention des auditeurs ”sur les similitudes entre le dépistage du cancer de la prostate et celui du cancer du sein. Ces deux dépistages possèdent un faible effet sur la mortalité spécifique par cancer, si ce n’est aucun, et il existe un surdiagnostic considérable nuisant à de nombreuses femmes et à de nombreux hommes bien portants. Pour ces deux raisons, nous ne réalisons pas de dépistage du cancer de la prostate. Pouvez-vous me dire pourquoi tant de personnes défendent le dépistage du cancer du sein ? ”.
Les résultats de la thermographie seraient plutôt meilleurs que ceux de la mammographie. Elle détecterait
D’autre part,l’étude a conclu que 1,3 millions de cas de détection précoce étaient erronés et ont transformé des femmes saines en patientes de cancer du sein.Les chercheurs britanniques ont confirmé que le risque de cancer du sein augmente de 400% à 600%en faisant une mammographie.
Les Mammographies Causent le Cancer du Sein.Point Final.
Il vaut mieux utiliser la thermographie pour la détection précoce du cancer dusein,car la thermographie n’est pas cancérigène.Les thermographies sont beaucoup plus performantes et permettent de détecter un cancer du sein 10 ans avant que la boule de la tumeur se forme
Les scientifiques ont constaté que, tout en réduisant les tumeurs, la chimiothérapie ouvre une porte d'entrée pour que les cellules du cancer du sein se répandent dans le sang et d'autres parties du corps.
L’industrie du ruban rose est un
documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation
Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets.
L’origine du
ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du
National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par
Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant.
De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes.
Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe.
L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une
organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard.
Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen.
General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests.
Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ?
On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques