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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 23:19
Prix et catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer
La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien"
 
chaque année aux États-Unis seulement, les traitements allopathiques (conventionnels) génèrent plus de $ 200 milliards 
 
Le cancer rapporte bien plus aujourd’hui qu’il ne le ferait si un traitement efficace voyait le jour. Triste réalité d’une société dont l’industrie empoisonne les gens avant de les « banquabiliser » jusqu’au dernier souffle de leur vie.
 
 
À ce prix-là, on est en droit d’attendre des bienfaits considérables, n’est- ce pas ? Et bien ce n’est pas du tout le cas.
 
les prix extravagants,bien réels, sont basés sur l’espoir d’un progrès et guère plus, bien souvent. Par exemple, parmi les 54 médicaments anticancéreux autorisés entre 2008 et 2012 aux États-Unis, 36 l’ont été sur la base de critères d’efficacité intermédiaires. Or, après plusieurs années de suivi, pour 86 % de ces 36 médicaments, il n’existait toujours pas de preuve d’une amélioration de la durée de survie
 
L'American Cancer Society révèle que les Américains ont dépensé 87,8 milliards de dollars pour le traitement du cancer et les soins de santé connexes en 2014, dont environ 4 milliards de dollars ont été payés par les patients eux-mêmes.Cela représente le prix de 45 porte-avions Charles-de-Gaulle
 
s'agissant des immunothérapie (les traitements les plus innovants). Seuls 3 % des Français sont en phase avec la réalité de traitements dont les prix vont de 80.000 à 116.000 euros , en attendant certaines thérapies cellulaires facturées 400.000 euros aux Etats-Unis.
 
Enfin, j’ai pu avoir connaissance de la facture d’une seule séance de chimio «douce»: 2600 €uros. Mais selon le cocktail, la facture peut atteindre dans certains cas, paraît-il, plus de 6000 €uros.
Qui paie? La Sécurité Sociale bien sûr; mais la Sécu, c’est le contribuable, donc nous. Multiplié par 20 séances et par 60000 cancéreux chimiqués par an (en voie de progression constante), cela donne sur une base moyenne de 4500 €uros, le chiffre de 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros.
 
Le champion toutes catégories est un immunosuppresseur, le Humira, du laboratoire Abbvie. Son rôle : supprimer ou réduire les réactions immunologiques spécifiques de l’organisme. Humira est utilisé contre les maladies auto-immunes, comme la polyarthrite ou la maladie de Crohn. Son coût est estimé à 1300 euros par mois et par patient. Harvoni, du laboratoire Gilead, occupe la deuxième place du classement. Ce médicament contre l’hépatite C coûte environ 46 000 euros pour 12 semaines de traitement, soit un comprimé à 513 euros ! Sur la troisième marche du podium, on trouve l’Avastin du laboratoire Roche, un anticancéreux utilisé notamment contre les cancers du sein, des bronches, du rein, des ovaires. Son prix est de 932 euros le flacon de 16 ml.
 
Le livre noir du médicament (extrait non disponible sur internet)
“Que ce soit l’avastin ou d’autres “mab”, le prix d’une chimiothérapie peut atteindre 100 000 dollars, pour une échelle de prix comparable en Europe. Quant à leur efficacité, elle est à peine meilleure que les anciens traitements. Le gain de vie moyen de ces nouveaux miracles de la biotechnologie est de quelques mois, voire quelques jours."
 
le traitement médicamenteux du cancer du côlon aux États-Unis était passé de 500 à 250 000 dollars par an !
 
Les laboratoires pharmaceutiques – dont les bénéfices (15 à 25 % du chiffre d’affaires) sont indécents, particulièrement en temps de crise – imposent des prix scandaleux qu’aucun État responsable ne devrait accepter, sous aucun prétexte. À titre d’exemple, dix-huit semaines de traitement avec une molécule ciblée comme le cetuximab (Erbitux* du laboratoire Merck) coûtent en moyenne 80 000 dollars et n’améliorent la survie médiane que de 1,2 mois. Dans sa grande bonté, le groupe pharmaceutique allemand Merck ne livre plus ce médicament contre le cancer aux hôpitaux publics grecs en raison de factures impayées. « Cela n’affecte que la Grèce, où nous avons été confrontés à de nombreux problèmes. Cela ne concerne que ce produit », explique M. Zachert, directeur financier de Merck au Börsen-Zeitung le 3 novembre 2012. Cynique ou inconscient, il ajoute : « Les Grecs pourront toujours se procurer l’Erbitux* dans les pharmacies. » Avec quel argent ? L’anticancéreux Erbitux* est le deuxième médicament sur ordonnance de Merck le plus vendu. Il a représenté un chiffre d’affaires de 855 millions d’euros en 2011. Ne pleurez pas pour Merck : il publie un bénéfice trimestriel meilleur que prévu le 26 octobre 2012 quelques jours avant la « punition » infligée aux hôpitaux grecs. Le chiffre d’ affaires s’est établi à 11,5 milliards de dollars. Merck anticipe un chiffre d’affaires 2012 au même niveau ou proche de celui de 2011 sur la base de taux de change constants.
 
j'ai pu avoir connaissance de la facture d'une seule séance de chimio « douce » : 2600 euros. Mais selon le cocktail, la facture peut atteindre dans certains cas, paraît-il, plus de 6000 euros
 
hopital : 5000 euros/jour en cancerologie
 
ces dernières années, le prix de certaines molécules a atteint des proportions que de plus en plus de médecins, dont je fais partie, jugent presque immorales. Comme le rappelle cet article, en une décennie, le prix des nouveaux médicaments anticancéreux a pratiquement doublé, passant d’un coût moyen de 5 000 à 10 000 dollars par mois (3 700 à 7 400 €).En 2012, sur les douze molécules autorisées aux États-Unis, onze coûtaient 100 000 dollars (74 000 €) par an. Et cette tendance risque de s’aggraver avec le développement de cette médecine dite « ciblée », qui va favoriser l’émergence de médicaments de « niche ».
 
La Sécurité Sociale bien sûr, mais la Sécu, c’est le contribuable, donc c’est nous. Prenons comme exemple les chiffres français, soit en moyenne 20 séances multiplié par 60000 cancéreux chimiqués annuellement, ça nous donne une base moyenne de 4500 €uros, soit 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros !
 
Les futurs médecins sont endoctrinés, à tel point que même lorsqu'une partie de ce qu'ils ont appris s'avère faux, ils continuent tout au long de leur carrière à suivre fidèlement à la lettre ce qu'ils ont appris.
 
Les médicaments contre le cancer sont devenus une très grande entreprise, même s’ils servent à ce qu’un expert a décrit comme un marché de « boutique ». Un américains environ 1,7 millions seront diagnostiqués avec le cancer cette année, selon l’Institut National du Cancer, et plus de 580 000 personnes mourront d’une certaine forme de malignité. En 2012, le marché global « oncologics » a atteint presque $ 26 milliards par année aux États-Unis seulement, et chiffre d’affaires global annuel est projetées au total $ 85 milliards en 2016, selon l’Institut IMS Health Informatics.
 
400 milliards de chiffre d'affaires annuel

Les pratiques de BIG PHAMA pour vendre des chimiothérapies qui ne guérissent pas

"vendu par les labos 69 000 dollars pour un an, le générique est vendu 177 dollars en Indes"

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